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#1 09/06/2013 18:59:40

Connavar
Moderator
Blason de la Maison Connavar

Euro176

En qualité de représentant de la Maison Connavar, moi, Dace, conteste la victoire de Maïa von Noon.

Premièrement, elle ne remplit qu'une seule des conditions de victoire alors que je remplis la condition de renommée ainsi que la condition de conquête.
Deuxièmement, elle ne mérite ni par l'honneur ni par la qualité de son royaume une telle récompense.
Troisièmement, une main divine m'a annulé mes ordres de fortifications (cela ne peut être de ma faute) ce qui m'a enlevé un minimum de 100 points de renommée.

La victoire doit me revenir. J'engage dès cet instant une rebellion ouverte contre la Maison Lightinoc. J'enjoins tous les nobles seigneurs à en faire de même.





PS : Renommée + conquête > renommée seulement ! Pardi !
PS 2 : Je veux mon empire d'Angleterre.

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#2 09/06/2013 20:47:12

Re : Euro176

Maïa von Noon

Fiche signalitique:

Parenté:
Fille déchue de l'empereur Lightinoc von Ophtéone               
Demi-soeur de la déesse Saori von Ophtéone

Taille: 1 m 78

Poids: confidentiel mais son BMI est parfait

Yeux: sublimes, au nombre de 2

Cheveux: Noirs

Caractère: Calme, pacifique, franche, loyale

Couleur préférée: le Vert

Trait caractéristique: Haine du père exacerbée, besoin de revanche et de démontrer que l'on peut être respectable, respectée et honnête.

Photo sans maquillage:
 images?q=tbn:ANd9GcT7y0PRH6-eM5d8eHdp-J8nHrpsHlRR3sHloCFbb9QW_iJwGhXFoA

Dernière modification par Lightinoc von Ophtéone (09/06/2013 20:48:47)

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#3 09/06/2013 22:28:27

Azildur
Prince
Blason de la Maison Azildur

Re : Euro176

Connavar a écrit :

Deuxièmement, elle ne mérite ni par l'honneur ni par la qualité de son royaume une telle récompense.
Troisièmement, une main divine m'a annulé mes ordres de fortifications (cela ne peut être de ma faute) ce qui m'a enlevé un minimum de 100 points de renommée.
La victoire doit me revenir.

Fiche signalitique d'Octave : s'etouffe dans son vin à l'annonce du message de Connavar l'Infâme-Incapable-De-Gagner-Malgré-Des-Conditions-Ultra-Favorables-Et-Un-Comportement-De-Chacal (oui c'est son nom en apache).

Gloire à Maïa première du nom à monter sur le trône de Kalan, que sont nom soit chanté des siècles et des siècles.

Octave l'ancien Germanique  


Arda para subire, brûle de t'élever

Hors ligne

#4 10/06/2013 15:03:44

Adamant
Ecuyer
Blason de la Maison Adamant

Re : Euro176

Félicitations à Maia pour son couronnement de la part d'un ennemi qui aurait bien aimé être un peu plus mordant wink

Estel, Lueur de Thrace

Hors ligne

#5 10/06/2013 21:49:50

Azildur
Prince
Blason de la Maison Azildur

Re : Euro176

J'attends les CR des finalistes (Dace, Godefroy, James?) et de la Reine puis je posterai le mien.. Un peu moins intéressant du point de vue global mais qui peut être sympa à lire. 


Arda para subire, brûle de t'élever

Hors ligne

#6 10/06/2013 22:50:03

Re : Euro176

Ça me semble compliqué, la partie a du durer 8 mois, impossible de se rappeler de quoi faire un vrai compte rendu.

Mais je vais essayer si je trouve du temps libre, bcp de temps libre.

Hors ligne

#7 11/06/2013 14:11:02

Azildur
Prince
Blason de la Maison Azildur

Re : Euro176

Quelques anecdotes, un récit global, quelques moments clés, non ? On peut aussi ne pas faire de CR, ce n'est pas une obligation.


Arda para subire, brûle de t'élever

Hors ligne

#8 11/06/2013 18:36:19

Duc de Navarre
Marquis
Blason de la Maison Duc de Navarre

Re : Euro176

Je peux faire le mien si tu veux :
J'ai commencé quelque part en Afrique du nord, j'ai foncé en espagne en attaquant en parrallèle le kabylien avec l'aide du lybien. J'ai été plus ou moins inactif un tour et du coup je me suis pris le régent de Talavera et Godefroi sur la gueule (content qu'ils aient tenus jusqu'au bout avec leur alliance debout d'ailleurs). Je suis mort quelques tours plus tard.
Voilà big_smile


Pair du Royaume
Prince de la cour royale
Capitaine de l'armée royale

Hors ligne

#9 12/06/2013 16:18:44

Romualdus
Marquis des Iles
Blason de la Maison Romualdus

Re : Euro176

Ouais... En m'abandonnant face aux Hispaniques qui ont eu le très mauvais goût de ne commettre aucune erreur ce qui m'a obligée à prendre la 1ère Trirème en partance pour les terres de mon père après que mon amant numide se soit fait plier la tête en quatre.
Merci aux Ritals pour leur soutien et félicitation à l'ex Kabyle qui a su durer plus longtemps que ses belliqueux voisins.

Octavia, fille déchue et sous salammbô des Romualdii


Si la situation elle bouge pas... C'est qu'elle est immobile

Hors ligne

#10 12/06/2013 16:26:36

Duc de Navarre
Marquis
Blason de la Maison Duc de Navarre

Re : Euro176

Ah oui c'était toi la lybienne. Bon bah désolé, j'ai vraiment foiré mon coup tongue


Pair du Royaume
Prince de la cour royale
Capitaine de l'armée royale

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#11 17/06/2013 11:57:32

Azildur
Prince
Blason de la Maison Azildur

Re : Euro176

Bon j'en ai fait un très succin et sans cartes. Je vous ai glissé au début un passage du super CR que j'avais commencé à rédigé mais que j'ai arrêté suite à un coup de traître du gros traître de chez traître. Je vous fais partager ce petit compte rendu quand même... Avec quelques questions à la fin.  

La Dahme était gelée à cette période de l’année, et terriblement silencieuse. Les berges de la petite rivière se couvraient d’un manteau blanc que les timides rayons du Soleil d’Hiver ne parvenaient pas à faire disparaître. Tout était silencieux à cette heure de la journée, quand les hommes ne sont pas encore levés, quand les épées ne chantent pas encore, quand même les plumes ne grattent pas. Octave se souvenait des moments passés à se tremper jusqu’aux genoux lorsque le printemps revenait et laissait découvrir les trésors cachés par les congères de février. Petit, il aimait courir des heures et des heures avec ses frères, même si bien souvent, il restait le seul à crapahuter dans la nature. Philippe préférait de loin la poésie et les lettres, quand il ne charmait pas les jeunes filles de l’Institut de Bavière. Thorolf pour sa part, avait toujours eu un plaisir pour la brutalité des joutes, ce qu’avait toujours laissé de marbre leur aîné Octave, qui n’aspirait qu’à vivre dans ces bois jusqu’à la fin de ses jours. Se remémorant ces heures heureuses, le seigneur de Berlin sourit, ce qui lui arracha une grimace. Une goutte de sang perla et tâcha la neige immaculée. Il avait les lèvres gercées chaque hiver depuis sa plus tendre enfance et rien n’y ferait jamais rien. Le Soleil se levait doucement, et le chant des oiseaux résonnait dans cette forêt si calme. Le Germanique soupira puis se mit en route pour rentrer au château. Il savait que ces promenades matinales étaient tout sauf recommandées, surtout depuis le début de la guerre de Pologne, mais il aimait trop cette petite rivière, qui symbolisait toute cette enfance si innocente, avant même qu’il sache pourquoi il avait été nommé ainsi par son père. Avant qu’il sache pourquoi ce terrible cousin, Oktavus, de trois fois son aîné, était venu s’installer au château d’Altenbourg, en Thuringe, si loin de ce petit havre de paix de Brandebourg.

Octave n’était pas un homme compliqué. Il n’était autre que le savant mélange de ses frères, aimait à dire sa mère. Il était l’équilibré, le modéré. Il ne se mettait jamais en colère mais n’avait pas la sensibilité pour connaître l’amour. Il n’aimait guère la violence mais ne savait pas se montrer lâche. S’il n’était pas un colosse, il n’en était pas moins un esprit vif et vivant, qui lui permettait de savoir s’entourer et de faire le tri parmi ses fréquentations. Il abhorrait le mensonge mais connaissait le poids de la vérité, ainsi que sa dangerosité ce qui donnait ce tact si germanique entre le jeu du oui et la douceur du peut-être, nous verrons. Il avait appris à tout faire dans son enfance, sans jamais exceller à autre chose qu’à vouloir, et réussir. Jeune, il avait prouvé ses qualités en s’imposant progressivement en Germanie, usant avec tact et intelligence les velléités des différents seigneurs jusqu’à les faire accepter la présence d’un seul chef. Il avait ainsi rallié toute la Thuringe à l’étendard de sa famille, plaçant aux postes clés les membres de son entourage, que des gens capables. Très vite, il n’avait pas pu supporter la tristesse des forêts de Thuringe et avait pris le contrôle de la Hesse, faisant du château de Marbourg sa résidence principale. C’est là qu’il avait rencontré Elise, qui lui avait donné de nombreux fils, dont un seul avait survécu, Louis. Ce fut une relation sans amour, arrangé par la famille de l’épouse, qui permit à Octave de récupérer la province de Magdebourg. Son territoire avait alors atteint une taille suffisante pour se lancer dans l’unification de la Germanie, qu’il avait brillamment réussi, étendant même ses frontières jusqu’en Poméranie.

C’est là-bas qu’il avait commencé à déléguer les pouvoirs à ses frères. C’est là-bas qu’il avait eu la première expérience de ce peuple froid et étrange de Russie. Des hommes courts aux caractères durs et fermés. Bien sûr, ils acceptaient et souriaient. Ils buvaient même. Mais préféraient se battre plutôt que d’écouter les délices de la musique classique germanique. Octave s’était senti profondément seul dans ces contrées, et avait décidé de se ressourcer dans la province de Brandebourg, afin d’arpenter les rives de la Dahme pour y trouver des réponses. Il avait feint l’imbécile le plus complet toutes ces saisons, disant amen à toutes les revendications de ses alliés. Il avait participé à la campagne de Pologne, dont il désapprouvait les méthodes lâches et honteuses. Il en tirait cependant des fruits mûrs et qui lui permettraient même de planter des chênes millénaires. Il aurait donc été mal venu de jouer l’hypocrite. Il n’avait jamais eu aucune envie de découvrir les steppes gelées et autres taïgas mornes et tristes. Mais la nation croyait en lui. Lui, qui avait bâti le territoire le plus riche et heureux d’Europe, lui qui avait su rassembler les meilleurs chevaliers du continent, et les plus loyaux. Il ne pouvait pas se défiler, même dans le doute. Le Seigneur de Silésie lui avait promis monts et merveilles à condition d’accepter et de soutenir le seigneur Pentos, sombre seigneur venu des sombres terres, là où jamais le Soleil ne se lève. Octave n’avait pas bronché mais jour après jour, sonnet après prose, le doute s’instillait dans son esprit, alors même que les Grecs, qu’il avait contacté en toute sincérité lui mentaient allègrement, prouvant leur loyauté à Hummanumstellas, qui ne cessait d’ourdir des complots. Sa technique avait quelque chose de presque britannique. Le seigneur aimait vous mentir tout en vous prévenant que c’était un mensonge et qu’il mentait à votre ennemi afin que ce dernier le croit lui. Cela avait de beau qu’il n’y avait pour ainsi dire aucune vérité mise à part celle que le sire choisissait au dernier moment, lorsqu’il savait de quel côté tirer son épingle. Très habile mais il fallait être redoutablement fin, tordu ou simplet pour pouvoir s’accrocher. En vérité, il fallait être désespéré et être prêt à renoncer à sa souveraineté au profit de celle du seigneur, qui n’hésitait pas à marcher sur les autres. Le Germanique ne parvenait pas à en vouloir à son allié, car il l’appréciait. Il fallait séparer le grain de l’ivraie, détruire les machinations sans en décapiter l’auteur. Et la solution d’Octave allait dans ce sens.

Ces pensées se bousculaient alors qu’il chevauchait au rythme des concertos italiens qu’il venait de découvrir. Lorsqu’il arriva enfin, fourbu après plusieurs jours de chevauchée, il fut empli de fierté à la vue de la grande armée du Rhin, qui arrivait tout droit de Thuringe. Il remonta la colonne jusqu’à retrouver son frère, qui prit acte de ses ordres. Il embrassa une dernière fois son cadet avant de poursuivre sa route vers le Nord-Est. Ce n’était que le point de départ d’une longue chevauchée vers le Soleil, plus loin, toujours plus loin dans la Mazurie et ses lacs. Il trouvait même une certaine poésie à tout cela. Alors qu’il s’endormait, il trouva que la Chevauchée des Walkyries irait très bien avec le drame lyrique qu’il composerait au cours de sa Campagne de Russie. Son cher ami Léon lui avait donné matière à penser là-dessus…

On avait une impression de temporalité, si loin au Nord, si loin à l’Est. L’Entrée en Russie s’était faite sans un bruit, aussi douce que la nuit qui tombe un soir d’été. Les villages étaient déserts. Partout, des scènes macabres de désolation. Contrairement à ce qu’il avait imaginé, Octave n’avait pas eu à ordonner la moindre prudence. Les habitants de cette grande région des lacs accueillaient l’armée du Rhin en grande libératrice. Il ne restait plus rien sinon le bois calciné et les marchandises souillées par le départ précipité des troupes de Pentos le sombre.
 


Arda para subire, brûle de t'élever

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#12 17/06/2013 12:04:20

Azildur
Prince
Blason de la Maison Azildur

Re : Euro176

 
Installation :

Je démarre en Thuringa, position plutôt centrale, entouré d’Endymion (Friesland), Melinka (Bavaria, je crois), Montloup (Poland ou Kauyavia). Mes voisins plus lointains, c’est du lourd. A l’Est, je vois Pentos, James, Estel et Humanumstellas. Je comprends tout de suite que ça va cogner là bas. A l’Ouest, ça me semble plus calme (grave erreur), Maïa Von Noon, Dace, Foxhotel (jeune), Angevin. L’Italie est bouchée, autant que l’Espagne et l’Afrique. Bon, c’est un départ plutôt correct.

J’envisage tout de suite de partir vers l’Est mais il me faut pour ça être sur que mon front ouest soit stable. Je crée une belle alliance avec Melinka et Endymion. Je suis généreux avec Melinka dans le partage car je sais qu’en fonçant sur Montloup je gagnerai le gros lot. Endymion est séduit par l’idée de conquérir l’Angleterre et Dace va marcher avec lui. Melinka, c’est plus compliqué mais accepte tout de même. Assez vite, j’entre en contact avec Humanumstellas pour faire la peau à Montloup. Très vite, ce dernier me prévient que Pentos fera partie de l’aventure, ce même Pentos que je comptais occire. Bon, très bien.

Les premiers tours passent, nous massacrons Montloup qui de plus est félon par le tandem Humanumstellas-Pentos, ce qui me permet de retourner la fureur du félon sur eux et me permet de progresser sans la moindre déconvenue. Le polonais mort, il faut partager ses terres. C’est là que ça bloque.

Premiers tâtonnements :

A l’Ouest, la conquête de l’Angleterre est lancée. Melinka piétine face à Foxhotel, je demande à Maïa de ne pas aider Fox et je n’aiderai pas Melinka. Maïa fait miner d’accepter puis refuse catégoriquement. Je suis mal car j’ai besoin de tous mes hommes à l’Est car je ne fais pas confiance à Pentos. Tiens d’ailleurs, en parlant de l’Est, Humanumstellas me propose un plan génial : Pentos prend la Russie, enclavé entre moi et Humanumstellas pendant que je me tourne vers l’Ouest. Je flaire le danger tout de suite. Soit on me trahit, soit le partage est effectif mais je ne crois pas à la théorie du Pentos qui resterait bien sagement tout au nord, coincé en Kur pendant que mes hommes sont à l’opposée. Je dois prendre une décision rapidement. C’est le moment ou jamais car mes alliés sont tous pris dans des guerres, donc pas de trahison, et les deux orientaux ne sont pas encore prêts. Je frappe en trahissant Humanumstellas et Pentos, à qui je déclare la guerre. La première grande guerre est lancée. Je connais de beaux succès en laissant passer Pentos sur mes terres afin de le bloquer. Pentos manque de chevaliers, Humanumstellas, d’hommes. Je réussis à les contenir puis à les repousser avant que James entre en piste. Ce dernier, prétendument neutre, donne des hommes à Humanumstellas et couvre ses terres.

Première chute :

Entre temps, je cherche moi aussi du soutien alors que Melinka attend désespérément mes hommes. Pris de remords, je lui en transfère quand même 500 en lui demandant de ne pas les bouger et d’attendre un tour pour mieux frapper. Elle se fait exterminer en ne m’écoutant pas. Je passe un accord avec Maïa : je laisse tomber Melinka et je prendrai Foxhotel en allié si jamais Melinka est tuée, et rapidement (pour éviter tout retour de bâton). La rapacité d’Humanumstellas lui joue des tours : Xiaoxiaoxiao, seigneur en exil, vient me trouver en me demandant ce que j’ai à lui offrir en échange de ses services, car Humanumstellas est trop gourmand. Xiao rejoint mes rangs. Le combat s’équilibre.

Guerre et paix :

La guerre à l’Est continue alors que je suis de plus en plus détaché du reste de l’Europe (effet d’isolement de la guerre), je sens que ça va mal, mais James est lui-même entaché dans des guerres ce qui diminue son soutien à Humanumstellas. Xiao et moi connaissons des succès et réussissons à tenir en échec James, Humanumstellas et Pentos (en collant de sacrées défaites à Pentos). A force de négociations, James, qui est fatigué par un effort de guerre ridicule, crée un concile pour faire une grande paix à l’Est. J’accepte de mauvais poil car j’ai été le premier à lancer des appels de ce genre, mais qu’importe. J’en veux énormément à James qui n’a fait que me mentir et se faire passer pour le sauveur mais ce qui importe est de trouver une voie de sortie. L’ennemie sera Maïa, qui m’a menti en faisant de Melinka une vassale, qui m’en veut à mort et attaque mes terres occidentales dans un premier temps. La paix est conclue à l’Est, Pentos et Xiao seront téléportés en première ligne grâce à leurs super chevaliers pendant qu’Humanum et moi-même récupérons presque  15 terres chacun.  Une grande coalition anti-française est créée : Italie, Grand Est. Pour Endymion, tout est ok même s’il m’explique que Dace a un comportement assez spécial. La conquête de l’Angleterre est finie et tut semble bien se passer. Tout se passe sans accroc. Sauf, le premier tournant de ma partie : Xiao décède à cause d’un problème de repli qui s’avéra être plus tard un mélange mi-bug mi-anachronisme Xiaotien (Xiao préférant utiliser le repli chevalier, ordre aujourd’hui considéré comme particulièrement traître).  Je me retrouve donc seul face à Maïa et Foxhotel, en première ligne, avec Humanumstellas sur les côtés, jurant qu’il arrive à mon secours.

Deuxième Chute :

Deux tours passent durant lesquels je bouscule Foxhotel et me place en position d’enfoncer Maïa, qui doit effectivement contrer l’avancée de James et l’arrivée de Pentos et Humanumstellas. Une terre retient particulièrement mon attention : l’Alsace. Cette terre me permettrait de passer directement en France sur les terres de Maïa. Cependant, l’ami Dace, qui a fait avancer ses chevaliers sur la terre (tout en m’ayant promis la saison dernière qu’il n’en serait rien) va me rendre félon. J’entame de grandes discussions avec lui et Humanumstellas afin de m’assurer qu’il dégagera d’Alsace. Tout est ok, je regroupe mes armées et mes chevaliers (qui font partie des meilleurs d’Europe avec de grosses armées) et me prépare pour une saison qui s’annonce brillante. Mais là, les Noces Pourpres. Je n’ai rien vu venir. Mes hommes sont trahis et massacrés par dizaine de milliers. Premièrement, Dace a encore menti et me rend félon en Alsace. Mais le pire c’est Humanumstellas qui à travers Pentos, me félonies en… Kur, cette terre censée me revenir. Je n’ai rien vu venir, je suis félon deux fois. Mon chevalier seigneur, qui avoisinait les 250 se retrouve aux alentours de 30, tous mes chevaliers désertent, ne me laissant qu’un seul chevalier à 50 de renommée. Tous mes hommes ont déserté, il me reste 1500 hommes pour mener une guerre contre Dace, Maïa et Pentos. Humanumstellas ne m’a pas déclaré la guerre, une erreur. La torture psychologique est à son comble quand James arrive de nouveau comme une fleur pour me dire qu’il était au courant, mais qu’il ne pouvait rien dire. Mais qu’il désapprouvait beaucoup. Quant à Dace, aucune réponse, rien. Maïa reste plus sobre mais au point où j’en suis, elle aurait tout aussi bien pu me passer le tabouret. Je me retrouve avec un domaine immense qui n’est pas encore menacé. Mais qui va s’effondrer. Je suis à deux doigts de tout laisser tomber.


Thuringa, an Zéro :

Durant les tours qui suivirent, je fus vaincu de tous les côtés, toutes mes terres furent annexées. Mon allié Endymion connaît le même sort, trahi par Dace et Maïa. Dace bien sur, conserve le bon rôle. Après tout, c’est de la faute d’Endymion. Je réussis à m’entendre avec Maïa. J’achète sa paix contre mon centre de recrutement. A force de joutes et de chance, je réussis plus ou moins à redresser la barre. Je n’ai plus d’alliés et Humanumstellas continue de me massacrer. Je réussis tant bien que mal à rencontrer quelques succès mais je ne me voile pas la face, je n’ai aucune chance. Je pille toutes mes terres pour me retrancher sur deux terres fortifiées afin de regrouper tous mes chevaliers au même endroit. Mes terres ayant été très riches je m’en sors avec presque 80 000 écus qui me permettront de faire des joutes et de lever des armées en masse. Humanumstellas ne prend pas la peine de me défier dans mes forteresses, trop content de son coup. Cela me donne le répit nécessaire. L’homme m’a encerclé mais se retrouve alors confronté à Maïa. Cela me laisse un tout petit espace le long de la mer du Nord… Petit à petit je grappille des terres, me déplaçant, vivant de pillage et de rançons. Mais mes succès à répétition font exploser la renommée de mon CS. Je fais le tour des terres d’Humanumstellas qui me poursuit et j’arrive sur ses terres riches. Je l’esquive et continue ma razzia quand soudain…

La résurrection :

Humanumstellas est félon, c’est le plus beau jour de ma vie. Malheureusement, il lui reste de gros chevaliers, mais plus d’armée ni rien. James est trop occupé pour véritablement l’aider. Je le massacre à mon tour et récupère un beau domaine. Cela fait de nombreux tours que je n’entretiens plus la moindre correspondance, ayant perdu tout intérêt pour la campagne. Plus personne ne désire me parler et je ne parle plus à personne car je ne suis pas en moyen de faire quoi que ce soit, sinon trancher du Artaz. Au finish, je fais tout ce que je peux pour que Maïa soit couronnée, et non Dace ni James. Malgré mon incapacité notoire, je fais gagner quelques points de renommée à Maïa avec Endymion et Melinka. Je ne sais pas s’ils seront décisifs mais la belle remporte la couronne et mon objectif est atteint. Je finis avec 7 terres sur le dernier tour alors que Melinka m’en prend 3 dans sa furie. J’en aurai eu 10 et aurait dépassé Humanumstellas qui se retrouve avec 7 terres, voire moins si un regrettable problème de comptabilité ne m’avait pas fait perdre 7000 hommes irrécupérable avec mon taux de recrutement aussi bas. James est complètement vaincu, Dace est humilié par la victoire de Maïa (alors qu’il a atteint les seuils de victoire par prestige ET conquête), Humanumstellas est aussi détruit que moi, Pentos a passé l’arme à gauche… Ce n’était finalement pas une si mauvaise journée pour mourir. 

Remerciements et Débriefing :

Je devrai remercier tout le monde pour cette partie qui reste une des meilleures que j'ai fait. Pas en terme de résultat  (quoi que..) mais en terme de plaisir car j'ai réellement beaucoup apprécié cette partie. Je tiens quand même une mention spéciale pour Artaz avec qui j'ai énormément aimé m'envoyer des tonnes et des tonnes de messages, tous plus beaux les uns que les autres. Je suis passé par tous les tons avec lui et ce fut un véritable plaisir de partager tout ça avec un joueur grâce auquel j'ai beaucoup appris. 

Ensuite, quelques questions/remarques.

Dace, bien pour le personnage mais j'aurai voulu savoir si tu pensais vraiment que tu étais immaculé et blanc comme neige ou si ça faisait partie de ton personnage ? Pourquoi m'avoir trahi en Alsace ? Cela t'aurait permis d'éliminer Maïa de la course au trône à travers moi et au final peut-être de remporter la couronne en me passant dessus quand Humanumstellas me trahit.

James, je t'ai haï sur cette partie ! Même question, j'ai parfois eu l'impression que tu ne comprenais vraiment pas ce que je te reprochais. Personnage ou tu n'as vraiment pas vu tout ce que tu as fait ? Je parle des dizaines de mensonges car je ne crois pas que tu aies dit la vérité une seule fois wink

Humanumstellas : réellement, tu ne comptais pas me trahir dès le début en installant Pentos au Nord ? C'était impossible que l'on reste en paix alors je ne crois pas que ma trahison soit si horrible que ça. Je sais que tu allais faire le perfide. 

Beaucoup d'autres questions et de passages sont passé sous silence, la partie a été longue et ma mémoire s'ffiloche. Toujours est-il que cette partie m'a donné l'occasion de réecouter du Bach, du Bethoven et du Chopin, ce fut un plaisir.. A bientôt.


Arda para subire, brûle de t'élever

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#13 19/06/2013 12:13:53

Adamant
Ecuyer
Blason de la Maison Adamant

Re : Euro176

Je vais y aller pour un petit compte-rendu, je risque de faire tout de même pas mal d'erreurs à cause de la longue durée de la partie, ponctuée de nombreuses pauses:

Départ:

Je commence la partie en Grêce. Comme c'est original (sur toutes les parties jouées en Europe, j'en ai commencé au moins 4 dans cette zone), mais ça me rassure quelque peu. ;-)
Donc je me retrouve en Thrace. Par un grand coup du hasard (chance ou autre), la conquête de la Grêce pourrait s'avérer très facile pour moi: très peu de seigneurs sur les terres convoitées.

Je commence donc à faire le tour des seigneurs voisins:
_James dans les Balkans m'inquiète un peu (je suis son ennemi sur une autre partie et j'y ai vu sa force).

_Skarn en Lybia m'embête aussi, il va forcément monter en Crête.

_Le futur régent d'Apulia attire mon attention, s'il décide de débarquer en Epirus, je vais devoir le combattre.

Un seigneur se trouve aussi en Kyklades, je me prépare à l'attaquer dès la première saison.
Un seigneur se trouve juste au Nord de moi. Bref, peu de monde donc un début très facile.

Première saison:

Je ne sais plus trop comment cela commence, mais, après un rapide contact, James me propose une alliance exclusive entre nous.
Nous agirons de concert et pour nous. Tous nos autres alliés le seront à des degrés moindres.
Nous pensons à inclure un troisième larron dans la personne de Ravachol (je crois) mais qui va vite s'avérer être inactif. Humanumstellas va alors être choisi pour troisième compagnon.

(Ca se passe peut-être sur la deuxième saison, je ne sais plus trop).

Deuxième et saisons suivantes, le développement:

Forts de notre alliance et d'un partage des territoires à conquérir, nous agrandissons nos territoires plutôt rapidement.
Le premier seigneur grec va être rapidement détruit après avoir subit mes armées et celle de Skarn.
Le seigneur Skarn me contacte et me propose une alliance et me propose de partager la Grêce. Mauvaise pioche, je veux la Grêce pour moi tout seul. 
La guerre éclate alors entre Skarn et moi.

Je gonfle au maximum mes troupes, si bien que je me trouve très rapidement avec la plus grande armée de la carte. Mes territoires sont au supplice (moral et richesse très bas), cela me prendra beaucoup de saison pour tout remettre en ordre (et, même à la fin, il restera quelques séquelles de cette politique).

Skarn va être rapidement vaincu. Il a cependant un allié: Tacfarinas.
Ce dernier rapproche dangereusement ses troupes des territoires grecs. Je ne m'oppose pas à ce que Skarn conserve ses territoires africains tout comme je m'engage à ne pas poser le pied en Afrique.
Skarn malgré une offensive du dernier espoir (dont le succès fut obtenu en partie grâce à une erreur de ma part), va menacer le territoire de Thrace. Mais j'y ai une armée d'environ 4 à 5 000 hommes. Il mourra au champ d'honneur.

Il ne reste alors plus que Tacfarinas. Cette dernière aurait pu me gêner en débarquant en Crête (suite à une erreur de ma part, la conquête des terres greques fut retardée d'une saison). Il n'en fut rien.
Une fois en Crête, des échanges diplomatiques établissent un traité de paix, avec espoir de voir naître une alliance entre nous.

A ce moment-là, je contrôle toute la Grêce. Et James est installé plutôt solidement dans les Balkans.
Un petit point amusant: plusieurs seigneurs vont me mettre en garde contre le danger que représente James et ce dès les premières saisons (les messages furent d'ailleurs, pour leur plus grande part, transmis à mon alliés ;-) ).

Saisons ???, Humanumstellas, Octave et l'alliance de l'Est:

James et moi étions alliés à Humanumstellas. Au fur et à mesure des saisons, nous remarquons l'émergence d'une alliance au Centre-Nord: Elle est composée d'Octave, Melinka et Endymion.
Une alliance avec eux serait certes intéressant, mais juste pour faciliter notre développement. L'alliance reste relativement bidon.

La guerre va d'ailleurs éclater entre Humanumstellas et Octave. Au début, étant alors aux prises avec Skarn, je regarde les choses de loin.
Puis, Humanumstellas perd pied petit à petit. Il appelle à l'aide et James arrive à son secours. Je me met aussi en route mais mes armées sont alors presque toutes en Turquie.
Ma remontée va prendre quelques saisons mais j'arrive à point nommé pour peser sur la balance et forcer la signature d'un traité de paix, Maia prenant un peu trop d'importance à nos yeux.

A partir de ce traité de paix, je vais personnellement considérer tous mes voisins comme des alliés, avec un ennemi commun: Maia (et ses alliés les plus fidèles).
Comme l'a dit Octave, un événement va venir assombrir le traité de paix: Xiao va mourir à cause d'un problème d'ordre (technique et bug).
L'alliance d'Octave est en pleine désuétude (Melinka moribonde et Endymion plutôt extérieur à ce qui se passe à l'Est), il se retrouve un peu seul au milieu d'anciens ennemis. C'est justement ce qui va me le rendre sympathique et, donc, éventuellement un futur allié.

La trahison d'Humanumstellas va me faire sortir de mes gonds: alors qu'un ennemi menace à l'Ouest, Humanumstellas vient flanquer le désordre à l'Est alors que nous venions juste de signer la paix.
Je vais envoyer mes chevaliers à la joute d'Octave pour l'aider à se remonter et je vais parler à James sur la possibilité d'entrer en guerre contre Humanumstellas.
Malheureusement, deux points vont m'empêcher de passer des paroles à l'acte:
-J'ai accueilli Pentos sur mes terres, en Lydia (il reste de son passage une intéressante muraille ;-) ), il peut donc lever une armée et me détruire de l'intérieur, d'autant plus que mes troupes sont, pour la plupart sur le front face à Maia, en Epirus ou en Crête.
-Maia est dangereuse, ainsi que ses alliés le Régent de Talavera et Godefroi le Pourpre.

Je ne peux donc rien faire et espérer que l'affaire se termine soit par la mort rapide de l'un des deux protagonistes ou leur réconciliation (hem...).

Pendant ce temps, l'alliance de l'Est, s'aggrandit avec l'entrée de Tacfarinas et des seigneurs italiens.

Saisons ???, la guerre des blocs:

La carte va rapidement se diviser en deux blocs (et un seigneur relativement neutre en Angleterre).
Les deux blocs ont quelques problèmes internes, mais c'est le nôtre qui en a le plus, à cause de la guerre entre Humanumstellas et Octave.
Nous devons réfléchir sur les possibilités d'attaque en espérant ne pas se féloniser entre alliés.

Sur le front français, nous connaissons une poussée positive. Et si je n'avais pas lancé d'attaque sur la Savoy, Maia aurait pu être félonne (elle a attaqué Lombardy qui était tenue par l'un de mes chevaliers avec plusieurs hommes).
Cela n'a pas eu lieu, dommage.

Au Sud, Tacfarinas se fait détruire par Godefroi et son allié. J'arriverai trop tard pour la soutenir, peut-être pour la venger.
Mon chevalier-seigneur débarque donc en Afrique, et se dirige rapidement en Tripolitania. Je n'ai que peu d'hommes et souhaite savoir combien en a le Régent de Talavera.
Je le laisse reprendre Tripolitania, je fortifie Lybia et lance un fort recrutement.
Le Régent de Talavera ne connait pas le nombre d'hommes sous mes ordres et j'espère qu'il viendra m'attaquer en Lybia. Il n'en fera rien, et j'attendrai pour des prunes. Alors que j'avais de quoi l'attaquer sans problème (ce que je ferai lors des dernières saisons).

Entre Humanumstellas et Octave, un renversement a lieu. Octave reprend du poil de la bête et commence à enfoncer Humanumstellas. Là, James et moi-même n'allons apparemment pas être du même avis.
Je ne soutiendrai pas Humanumstellas, je ne me rendrai pas à sa joute. Mes armées resteront entièrement neutre vis à vis de ce conflit et je souhaiterai alors la défaite d'Humanumstellas.

Saisons ???, le renversement:

A un moment, James va être vaincu en France par Maia et les italiens balayés par Godefroi.
De l'offensive, nous devons passer à la défensive. Godefroi va être bloqué face à Epirus, grâce à l'un des chevaliers du Régent de Kabiya et de nombreux hommes venus des territoires de James et moi.
Je peux donc faire un effort sur le Nord et lever de nombreuses troupes pour repousser les avancées de l'ennemi.
Là, encore, la situation entre Humanumstellas et Octave va m'empêcher de pouvoir agir entièrement (si j'avais su qu'Octave n'attaquerai pas Melinka, j'aurais envoyé deux chevaliers pour prendre Goryn et Galich, ils étaient prêts et n'attendaient qu'un ordre pour se mettre en route).

La guerre entre Humanumstellas et Octave s'essoufle, je tente un message dans l'espoir de voir l'unité de l'Est se retrouver, mais elle est à jamais perdue.
Maia vaincra, ou Dace. Pour moi, il s'agira de combattre le plus possible pour me renforcer (dans le cas où il y aurait encore une ou deux saisons) et gagner un peu en renommée.

Finalement, Maia vaincra, malgré une situation quelque peu instable. Le trône ne devrait pas rester à elle bien longtemps ;-)

Conclusions:

En conclusion, j'ai été un seigneur relativement pacifique, même si je n'ai pas du avoir beaucoup de saisons où je me suis trouvé n'être en guerre contre personne.
Je vais tuer un seigneur de ma main (ou plutôt de celle d'un chevalier) après une guerre dans le style d'un duel.
Les seigneurs que j'aurai attaqué en Grêce serons quasiment tous vaincus par d'autres (sauf Skarn ;-) ).
Je ne prendrai part aux autres guerres qu'assez tardivement (contre Octave, Maia, Godefroi, le Régent de Talavera).
Contre Octave, le conflit s'éteint au moment de mon arrivée.
Contre Maia, je vais attendre près de 5 ou 6 saisons avant d'entrer effectivement en guerre, le temps de me renforcer et de venir sur le front (mes  chevaliers n'effectueront qu'une ou deux attaques).
Contre Godefroi, Il me déclare la guerre et nous ne nous rencontrerons que sur deux batailles.
Contre le Régent de Talavera, il me prend Tripolitania et je vais attendre pas loin de 4 ou 5 saisons avant de l'attaquer.

Ma situation a toujours été relativement protégée, avant de m'atteindre, il fallait s'occuper d'autres seigneurs. Si je n'avais pas tant pillé mes terres aux débuts de la partie, j'aurais été en mesure de mieux soutenir mes alliés.

Je ne regrette que deux points:
-Ne pas être entré en guerre contre Humanumstellas lorsqu'il avait félonisé Octave.
-Ne pas avoir attaqué le Régent de Talavera plus rapidement.

En tout, cas je remercie tout le monde pour cette partie. Vers la fin, nous sentions qu'elle durait un peu trop (surtout à cause de nombreuses pauses involontaires).

Estel, Lueur de Thrace

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#14 17/10/2013 16:28:07

Skarn Korn
Vieille Maison
Blason de la Maison Skarn Korn

Re : Euro176

Ha j'avais oublié cette partie...
J'ai très mal géré le côté militaire, en plus d'avoir eu une position faiblarde accompagnée par un jeu d'alliance du côté africain et grecque.... Et comme je déteste faire de la figuration, autant périr sur un champs de bataille. 

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