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#1 20/11/2009 19:25:45

Orcrist
Prince
Blason de la Maison Orcrist

débriefing Doigt

Ce récit est le journal que je voulais tenir saison par saison. J'ai tenu deux saisons...
En voici la copie, non modifiée.

Je suis donc l’initiateur de cette première Chasse, « Doigt ». Dans l’absolu, j’ai un peu la pression, mais pas trop. Mourir trop vite ternirait mon prestige, mais mourir avant la fin ne devrait pas être déshonorant non plus, en fait je n’ai aucune idée de comment va se dérouler la partie, ni de ce que je vais faire.

Tour 1 : première surprise, Filve a usurpé mon Nom est se retrouve en Epire, terre dont je devais hériter. Je démarre en Lausatia, avec d’immenses étendues libres de toute occupation devant moi. Devant cette situation, je décide de lever l’interdiction faite aux chasseurs de me déclarer la guerre avant le tour 3. Je suis entouré par Rand (en Prusse), mon plus proche voisin, Elad en Pinsk, Malakai (même s’il est très loin) , Wallace (tiens donc) en Slovénia, Zoulou en languedoc mais très loin aussi, Kamil en Vermandois.
Si j’assure vraiment le coup, j’évite tout combat (impliquant mon chevalier seigneur) jusqu’à la 5ème saison incluse.
Je décide d’aller vers le sud ouest, en Thuringa, en ayant à l’esprit l’éventualité d’une percée dans cette direction.
Mon objectif est de faire se rencontrer le plus de chasseurs possible pour qu’ils se battent entre eux.
J’ai peu de contacts, hormis avec Shaidar ( que j’apprécie) et Bricec (que j’apprécie aussi, mais différemment, disons que je m’en méfie même si le ton de ses messages est gratifiant pour mon ego).
En fait, j’ai peu envie d’aller dans la direction du trio Elad-Malakai-Wallace…
Je décide de piller ma terre et de recruter un maximum pour annexer le plus de terres la saison prochaine, en espérant toucher des chevaliers potables.

Tour 2 : Excellent tirage de chevaliers, 4 sont capables de conquérir des terres, et trois sont très bons et feront de bons combattants. Je suis certain d’obtenir 5 terres cette saison, soit 7 au total. 6 terres pillées me donneront 27000 écus environ, de quoi voir venir, même si je sais que je ne pourrai pas résister à tout le monde.
Autres bonnes nouvelles : Rand ne m’a pas déclaré la guerre et se trouve bloqué par le risque de félonie (je gagne deux terres sur lui), et Kamil a raté sa première annexion de terre et reste en Vermandois. Je peux donc me diriger en Alsace sans crainte. En projection, au tour 3, j’aurai 7 terres et j’attaquerai Pomern, Friesland, Wesphalia (avec mon chevalier seigneur) et Bohemia sans risque de contact. Mais je perdrai probablement Pomerania et Kauyavia prises par Rand, mais j’aurai pillé avant.
Selon toute probabilité, Wallace va se diriger en Bavaria, afin de me couper la route éventuellement en Swabia.
Elad devrait se retrouver En Bochnia puis en Moravia.
Kamil en Hainaut…
Déjà l’étau se resserre, je le visualise. Je commence à faire appel aux seigneurs éloignés, en leur faisant comprendre (si ce n’était pas déjà compris), que leur intérêt est que le premier rideau de chasseurs (Rand-Elad-Wallace-Kamil) ne parvienne pas à me tuer avant qu’ils n’arrivent sur zone. Ce discours s’adresse en priorité aux chasseurs de la 2ème vague : Malakai, Filve, Universe. Je tente déjà de les retourner vers Wallace (désolé, l’histoire se répète, mais bon…). Les premiers échos sont plutôt bons.
Les contacts les plus prometteurs sont avec Shaidar et Bricec. Je ne parle pas de Goldfinger, il est toujours un peu à part 
Bricec surtout me propose un échange de terres et de généraliser ces opérations avec d’autres seigneurs, d’une part pour bloquer mes assaillants, d’autre part pour m’offrir des refuges loin des combats. J’avais déjà pensé à cette stratégie, mais je ne suis pas fan. Va pour l’échange lausatia-Merrakeh, mais pour le reste… Bricec est un peu trop pressant, ou directif, ou je ne sais quoi. Et trop flagorneur aussi, ça m’inspire méfiance, tant et si bien que j’envisage de retourner ma diplomatie dans le secteur pour soutenir Korn. Mais Bricec revient vers moi en m’invitant à une joute particulière, et pour quelques autres raisons plus ou moins évidentes, je décide de le suivre encore. Je vais devoir gérer le cas de Korn à qui j’ai donné de faux espoirs.. pour le moment.

Ma stratégie se met en place, il se peut que je sois dans les premiers au niveau de la renommée globale à la fin de la saison, nous verrons bien. Je ne peux encore raisonner à plus long terme que deux ou trois tours. Universe m’indique qu’il va annuler son alliance avec Wallace, c’est un bon début.

(...)

La suite sera plus synthétique et surtout rédigée après coup.


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Re:
Auteur: de Saint Aignan
Date:   09 11 2009 22:22

Point de départ : Sicile. Déjà, c’est pas terrible comme terre de départ. Avec le départ du gibier en Lausatia, ma campagne se termine avant d’avoir commencé : je n’ai aucune chance d’atteindre Orcrist en 12 tours (sauf à ce qu’il fonce vers moi).

[Remarque n°1 : prochaine chasse : pas en Europe : trop grand : la moitié des concurrents sont hors-jeu d’entrée]

Ma motivation est compromise. Ma première mission sera de juste sécuriser un espace vital pour atteindre une taille critique afin de …. ben ch’ai pas. On verra bien. Mes marges de progression militaire étant des plus ténues, il me faut reposer sur la persuasion diplomatique…

I. Départ
Au sud ouest, l’africain Spikelor fait une offre raisonnable qui me laisse un passage vers le sud, aux antipodes de la cible (mais comme je ne puis atteindre cette dernière…). Au Nord, Universe vient avec un package : sud Italie + pourcentage sur son avance contre paix + alliance. Je signe. Reste le faux Orcrist d’Epire. Je fais mouvement vers lui avec méfiance.

II. Sécurisation
Finalement, les choses se passent bien. Je sécurise mon espace vital au nord (Filve/Orcrist part vers les Balkans sans venir me gêner en Italie comme il aurait pu). Avec un brin d’insistance, Universe applique ses accords et me donne la Suisse. Et Spikelor respecte sa part de marché. Je me distraie en marchant contre le Lybien Elzear (qui disparaîtra du circuit rapidement). La configuration des lieux m’empêche de progresser rapidement et le turc Goldfinger viendra me bloquer en Lybie.

III. Léthargie
[entre temps j’apprendrai le 11 septembre que je change de boulot et de site le 1er octobre. Ca n’aide pas]. Quelques tours passent où je recrute du chevalier à la tonne et organise quelques joutes. Sans plus. Orcrist part vers l’Angleterre. Je n’ai aucun objectif, si ce n’est de ne pas servir de proie à quelque rapace.

IV. Réveil
J’observe non seulement qu’Orcrist – en massant toutes ses forces – avance sans grand difficulté vers où il veut mais en plus plusieurs « chasseurs » se battent entre eux, sans liaison claire avec la chasse. Quand ils ne cèdent carrément pas des terres à l’Ennemi !?
Universe rompt son alliance avec moi sans motif (je suis à l’opposé de sa progression supposée contre Orcrist) .

Je tente un réveil diplomatique des chasseurs en les incitant à coopérer. Je ne place pas beaucoup d’espoir dans cette opération (pourquoi tout d’un coup tout le monde s’entendrait ?) mais j’espère que mon statut de (pseudo) chevalier blanc et pur retardera la déclaration de guerre d’Universe. Je gagne ainsi une saison.

V. L’hallali
Espérant que mon front restera calme, je peux m’engager (tardivement) dans une guerre contre celui qui fut l’allié d’Orcrist depuis le début (il y en a eu d’autres mais un seul à la fois) et contribue ainsi modestement à la chasse. Goldfinger tire parti de cette guerre pour entrer en guerre contre moi (il a au moins l’honnêteté de prévenir). Et Universe s’engouffre dans la brèche. Spikelor qui devait me soutenir contre Goldfinger se retrouve allié à Universe (et n’est plus le mien). J’anticipe une agression de sa part (d’autant que comme par hasard son chevalier principal s’est approché de ma frontière).

Il me reste à tenter le tout pour le tout : félonie contre Spikelor tant qu’il est temps en essayant de l’assassiner et combats retardateurs contre Universe et Goldfinger.

Au final, je préserve mon royaume, sans grande satisfaction.

Je m’attendais évidemment à un peu de zizanie parmi les chasseurs comptant sur la nature humaine et le célèbre pouvoir hypnotique du Serpent. Mais j’avoue que de voir plusieurs stratégies solitaires même pas tournées contre Orcrist m’a profondément déçu. Cela plus l’impossibilité de filer deux ou trois coups de canifs à l’homme au doigt dressé.

Encore merci à Orcrist d’avoir pris sur lui pour organiser cette quête originale même si – dans mon contexte personnel – je n’en ai pas tiré beaucoup de plaisir.

Athys de Sicile


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suite et fin
Auteur: Orcrist
Date:   19 11 2009 17:29

Saison 3 : Plutôt pas mal. Contre toute attente, Rand le Tueur se félonise sur moi. Je ne l’ai même pas fait exprès, il n’y avait aucun piège, la félonie était évidente s’il attaquait, je n’ai toujours pas compris... mais c’est une aubaine dont je compte bien profiter. Rand était le plus menaçant, partant d’un bord de carte et pouvant projeter toutes ses forces et ses excellents chevaliers sur moi : premier soulagement.
Je suis très bien renommé, riche, bons chevaliers. L’échange de terres s’effectue mais mon alliance avec Bricec est brisée, je suis presque coupé en deux.
Je pressens une alliance entre Elad, Malakai et Wallace, et je décide définitivement de partir plein Ouest, en esquivant le choc avec Wallace.
Mais j’ai très peu d’alliés, et surtout les seigneurs du deuxième rideau, au mieux restent neutres, au pire s’allient avec mes adversaires directs de la première vague.
J’ai quelques contacts avec Korn et Bricec, et aussi (hors catégorie) avec Goldfinger.

Deux ou trois saisons suivantes : Wallace et Elad foncent et convergent vers moi, Malakai a du mal à suivre, j’attends désespérément que Filve et Universe les prennent à revers, mais rien ne vient. Je profite du temps mis par mes ennemis de l’Est et du sud pour arriver, afin d’appeler encore quelques chevaliers, lever des armées (bénéficiant de la meilleure renommée), et fuir les combats.
Kamil n’est pas en forme et ne me menace pas. Je parviens à plus de 15 terres, ce qui était inespéré.

J’observe avec crainte les seigneurs du sud-sud ouest s’organiser (Ethan, Korn, Spikelor, Athys...), alors que Bricec disparaît prématurément. Véran grossit, et la Grande Bretagne semble encore ravagé par les conflits locaux. J’hésite un moment entre partir en plein centre des terres de Veran, ou alors partir dans les îles, le plus haut possible.

L’objectif est de fuir les forces coalisées du sud, alors que de l’Est, Malakai déserte alors qu’il vient, enfin, de déclarer la guerre à Wallace et Elad. L’Usurpateur de même déclare la guerre à Wallace... avant de déserter, comme Wallace. Et voilà Elad seul (Rand ne compte plus) avec des étendues territoriales extraordinaires, pas menacées, et surtout riches (les terres de Malakaï). Seul Goldfinger tente de remonter et entre en conflit avec Elad, mais il est bien trop tard pour stopper celui-ci.

Je me rends à l’évidence : si je retourne vers Elad je suis mort, si je vais au sud je suis mort, si je vais à l’ouest, ceux du Sud conjugués à Véran m’auront... reste les îles. Dès la saison 3 ou 4, je décide de me balader avec une grosse armée sous mon commandement personnel, et de charger mes chevaliers d’une guerre de harcèlement, avec des effectifs moindres. Je compte sur le nombre pour passer entre les mailles du filet et tenir quelques territoires à l’arrière des lignes ennemies.
Cette tactique fonctionne tant que ma renommée globale est élevée, mais au fur et à mesure des pillages de mes terres et des déclarations de guerre subies ou déclarées, ma tactique doit changer. Mes adversaires (même Véran) pouvant faire des défenses-attaques avec leurs chevaliers, échapper aux combats frontaux s’annoncent impossible. Et je sais qu’à la première grande bataille, je ne pourrai reformer mon armée.

Lausatia, Thuringa, Alsace, Westphalia, Lorraine... un échange de terres avec Spikelor s’effectue, mais à nouveau, mon alliance avec lui saute et voilà la Holland, porte d’entrée vers les îles, inaccessible.
Vermandois, Ponthieu...me voilà prêt à débarquer. Je suis au contact de Véran, nous sommes à peur près de renommée égale, mais son potentiel est plus important. Tant que je suis plus renommé que lui, je peux faire mal, mais si ça s’inverse, je suis mal. Il faut que je sorte de cet endroit..
Rand me contacte, je profite de l’occasion pour tenter un truc énorme, comme ça, à l’instinct : la félonie d’Elad. Ca marche ! (cf récit précédent). Même si j’exclus de revenir sur mes pas (pas le temps), cela me donne une bouffée d’oxygène car je sais que je pourrai conserver des terres dans le secteur pendant quelques temps (toute la bande nord). D’autres chevaliers sont descendus jusqu’à la ligne Nivernais, Swabia, Bavaria, Austria, et remontent maintenant pour tenir au moins une terre au nord est.

Mon objectif, à présent : débarquer avec 10 000 hommes et le chevalier seigneur le plus renommé de Doigt, et tenir au nord est, au moins une terre à la douzième saison, au cas où mon combat dans les îles me verrait défait.

Sussex est espionné, pas fortifié, un chevalier avec 1 000 hommes : première surprise, mes deux adversaires Parcifal et Shaidar Haran ne se sont pas organisés pour m’attendre. La faute à Xorf ou au manque de communication ? Je m’attendais au moins à une enceinte fortifiée en Sussex, et sans surprise je débarque. Le meilleur chevalier de Parcifal m’attendait avec 1 000 hommes, il meurt lors du premier assaut, je ne comprend pas bien la tactique des insulaires. Mes autres espionnages futurs ne fonctionnent pas, donc je pars à l’aveuglette, avec l’ambition d’aller le plus loin possible. Mais je vois déjà par l’analyse des communs que les meilleurs chevaliers de mes adversaires, qui ne dépassent pas 110 de renommée (je suis à 200), sont au sud de l’Angleterre.

Je me dis que sauf erreur monumentale, je devrai survivre.

Aux alentours de la saison 9, Elad, affaibli par sa félonie, meurt par l’assaut des armées d’Universe. Cette disparition implique, au vu de la position de mes adversaires, que je conserverai au moins une terre, Pomérania.

La victoire est là, je sais que je n’ai qu’à donner un ordre de repli à 1% à mon chevalier seigneur pour fuir le combat et être rapatrié en Pomérania. Je savoure, mais je veux mettre encore un peu de panache, et continuer mon périple britannique.

La résistance s’organise enfin, des ventes de terres à des seigneurs neutres envers moi (il y en a plus beaucoup, seulement Korn et Goldfinger, sont organisées) pour certainement me “guider” vers un endroit où des armées peuvent m’attendre, mais heureusement la vente à Goldfinger rate. Je finis de déclarer la guerre à tout le monde. Je souhaite que Lug passe par le sud de l’Irlande mais il est bloqué...

Je vois de grosses sommes emplir les caisses de Parcifal. Shaidar quant à lui avait patiemment économisé plus de 100 000 écus, mais après calcul, n’ayant au mieux qu’un chevalier à 50 de renommée à m’opposer, et s’il pille toutes ses terres, 150 000 écus ne lui donnent “que” 15 000 hommes” à opposer à mes 15 000 hommes dirigés par mon chevalier seigneur. Pareil (grosso modo) pour Parcifal.

Mercia, Lancashire, Man...

Je sais qu’à la dernière saison, je resterai en possession de Prussia, Danzig, Pomerania, Pomern et Holstein.

Je lance un dernier assaut vers l’Ulster, avec repli à 10 000 hommes...

Et voilà, je finis mon parcours de chasseur traqué en Ulster, étant parti de Lausatia, avec 8 terres.

Mes choix stratégiques principaux ont été :
- récupérer le plus de terres possible d’entrée (ce qui a été permis par mon placement plus que favorable), au besoin en recrutant de nombreux chevaliers (12), pour financer une grande armée mise sous mon commandement.
- retarder au maximum le pillage de mes terres (uniquement quand je décidais de ne pas défendre), pour financer une campagne solitaire de longue haleine et rester le plus longtemps possible avec une forte renommée globale.
- éviter les combats frontaux entre mon chevalier seigneur et mes adversaires pour conserver mon armée principale et l’étoffer.
- toujours rester en mouvement, ne jamais être bloqué par un allié ou un adversaire. C’est la raison de nombreuses guerres déclarées qui en ont surpris plus d’un (y compris moi, parfois, dans leurs conséquences sur les annulations d’alliances).
- trouver un juste équilibre, à partir de la saison 5, entre augmenter la taille de mon armée principale (pour assurer ma survie au combat), et financer la guérilla menée par mes autres chevaliers, au sud (Talion, Nemesis), au nord-est (Malleus et d’autres), et autour de moi (Lug, Coupeur de Citrons), pour m’assurer un lieu de retraite.

Au final, je finis relativement confortablement, mais c’est vraiment un type de campagne stressant (et il m’en faut pour me stresser), ou l’on est isolé du début à la fin.
Chaque saison a vu 7 ou 8 attaques lancées, on approche de la centaine sur la totalité de la campagne, ce qui est énorme, et m’a fait, je crois, progresser en ce domaine :-)

Mon placement initial m’a beaucoup favorisé, j’ai conscience que si j’avais démarré en Epire comme je le souhaitais (et sans la blague de Filve l’Usurpateur), mes chances auraient été bien moindres. Cela aurait été une toute autre partie, on ne peut pas savoir...

Certains pensent que les chasseurs auraient dû mieux s’organiser, je ne suis pas de cet avis, sauf pour les îles britanniques. En effet, sincèrement, je pense que des guerres auraient dû être déclarées beaucoup plus tôt à certains seigneurs du premier rideau...
J’estime que les défaillances de malakaï, Wallace et Filve m’ont plus desservi qu’autre chose, car cela a favorisé l’émergence d’un seigneur innarêtable (Elad).. En tous cas par des moyens conventionnels. Je me souviens de Spikelor qui me demande, vers la fin, si je n’ai pas un tour dans mon sac pour le stopper, je lui réponds bien évidemment que non... c’était avant que Rand ne me contacte.

Un mot enfin pour Goldfinger, il joue toujours son rôle plein d’ambiguité à la perfection...


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Re:
Auteur: Orcrist
Date:   19 11 2009 17:36

L'ordre de repli aurait été bien évidemment à 99%, non à 1%.. j'avais aussi envisagé, de façon plus radicale, de démobiliser toute l'armée mise sous mon commandement (aucun risque d'un quelconque combat et rapatriement automatique sur une terre sécurisée), mais comme je l'ai déjà expliqué, je voulais symboliquement aller le plus loin possible dans mon périple et combattre encore, même si le risque d'être défait, et surtout mortellement défait, était, avouons le, très mince dès le moment où je suis arrivé en Mercia avec les gros chevaliers adverses derrière moi.

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