Je proteste ! J'avais des terres au moins aussi fortifiées que les tiennes lorsque j'ai repris la guerre, une enceinte fortifiée par territoire, rien que ça ^^
De mon côté démarrage de rêve en position centrale (vasterbotten ?), des voisins assez éloignés : Sagramor au nord, Oktavus en Suède et Jack (De Navarre) coincé sur les côtes sud de la norvège.
Je conviens d'un partage avec Sagramor, mes terres les plus septentrionales seront Svartsen et Norbotten. Je signe également une alliance avec lui, ainsi qu'Oktavus et James (écosse) notamment. Je recrute autant de chevaliers que je peux et je fonce droit sur De Navarre, contre qui je pense profiter de ma capacité d'extension.
Mais voilà, mon recrutement de chevaliers est pitoyables, à peine 2-3 capables de conquérir des terres neutres, et aucun capable de mener une armée en guerre.
La guerre est en fait équilibrée avec le Duc, à qui je propose un accord de paix qu'il trahi, pire : James rompt son alliance avec moi pour s'allier à mon ennemi, et le troisième occidental, DeBeynac est aussi mou qu'un gant de toilette et se laisse tranquillement enfermer par ses alliés, sans répondre à mes missives.
De nombreuses fois j'ai demandé du soutien à Oktavus, en écus ou soldats, celui-ci refuse toujours arguant qu'il ne veut pas prendre d'initiative, je ne lui pardonnerai pas par la suite.
En revanche je n'en ai pas demandé à Sagramor, en qui je n'avais pas confiance, notamment de part sa position diplomatique vis à vis de ses autres voisins et par peur de l'ingérence.
Je me retrouve finalement acculé dans mes quatres provinces septentrionales (hergelad, svartsen, norbotten et vasterbotten) par James et le Duc lorsque je décide de tenter le tout pour le tout et de piller entièrement mes quatres territoires pour un recrutement qui a du avoisiner les 40.000 écus.
Enorme coup de chance, je tue au combat mes deux ennemis d'un coup : j'ai gagné la guerre mais je suis exsangue, de plus DeBeynac dans les îles, Oktavus et Sagramor en profiteront bien plus que moi, j'en suis conscient.
JE DECOUVRE DANS LE RAPPORT COMMUN QU'OKTAVUS ME TRAHIT, EN M'ABANDONNANT ET EN SE RAPPROCHANT DE MES DEUX ENNEMIS.
Bien qu'il n'ai jamais pu le faire en pratique, je considère dès cet instant Oktavus comme un traître, je n'en laisse toutefois que peu transparaître.
DeBeynac me propose une alliance que j'accepte. J'installe rapidement un petit fief en norvège. Oktavus est alors en guerre contre les seigneurs de l'est, Rory et Captain et tente de former une alliance occidentale. DeBeynac accepte (quelle bêtise) et j'affirme ma neutralité, prétextant mon état économique déplorable.
En réalité j'amorce un rapprochement avec l'est, par le biais de Sagramor qui s'est révélé être le seul seigneur en qui j'aurai dû avoir confiance de toute la campagne.
Je ne me déclare toutefois au grand jour que tardivement, en espérant être prêt mais en réalité je commence par stagner (oubli de recrutement le premier tour de la guerre : fatal error).
Je finis par accepter un cessez-le-feu avec oktavus et debeynac sans en toucher mot à mes alliés, mon fief va mal et je crains pour ma survie.
Je me fais trahir une fois encore, et me retrouve avec Oopland pour seul territoire, que je blinde entièrement. De plus mes alliés n'étant pas au courant, Sagramor m'a déclaré la guerre pour éviter toute félonie, visiblement sans prévenir nos alliés communs, ce qui fut une catastrophe.
Pendant longtemps je reste à me terrer en oopland, tout en en faisant la terre la plus riche et la mieux défendue de Scandie.
Je finis par reprendre le combat avec d'excellents chevaliers et une armée de 11.000 hommes, et si après quelques succès initiaux j'arrive à reprendre mon fief de norvège. Lorsque DeBeynac se décide à nous rejoindre il est déjà trop tard et je me fais tuer en Suède à la tête de 10.000 hommes lors que Saori en a 14.000 sous le commandement d'un chevalier légèrement plus renommé.
Une belle campagne en somme, un peu essouflée sur la fin, mais je le dis et le répète : OUI j'ai trahi Oktavus mais lui aussi et avant, mon seul fait du côté obscur de la force est de lui avoir fait croire que je l'avais pardonné.
@Azildur : content que tu soit de retour, on va peut-être enfin s'entendre sur une partie ^^