Mais en réalité, je ne pense pas que ce soit les conditions de victoires qui sont à revoir, mais plus la dynamique des premiers tours.
Il faut pouvoir émanciper les seigneurs du facteur renommée et alliance.
Il faudrait qu'un seigneur par exemple en guerre avec plusieurs autres seigneurs aient une chance, pour peu qu'il gagne quelques victoires décisives.
Un attribut galvanisation apporterait une compensation à la guerre, qui actuellement n'en a aucun de mon point de vue (si ce n'est un gain territorial qui sera rentabilisé dans un avenir hypothétique).
C'est pour cela que la stratégie est plutôt à la constitution de blocs d'alliances forts et moins au panache, à la guerre de mouvement, ou aux stratégies risquées.
Pour moi, la seule stratégie viable actuelle, est se mettre dans la bonne alliance dès le début, dépecer quelques victimes faciles, constituer un fief, puis avancer en faisant exploser son bonheur et en faisant jouter ses seigneurs avec sa coalition. C'est l'inverse d'une stratégie dynamique. En outre la guerre de mouvement est quasi impossible, à moins d'avoir une base hyper solide pour assurer ses arrières. C'est pour quoi les 5 / 6 premières saisons ne peuvent être consacrées qu'à l'edification d'un fief.
Et c'est pourquoi il faut rebalancer de l'avantage à la guerre. Comme dans la vraie vie, la guerre permet de piller les territoires, apporte un gain en prestige, gavanise les troupes, augmente la productivité générale. Dans le jeu, aucune de ces compensations n'existe. De fait, le diplomatique et l'attentisme l'emporte sur le panache et les paris risqués.
Pour moi gagner la guerre devrait apporter un gain substantiel en commandement, un petit démographique, un pillage, un prestige qui fait recruter des meilleurs chevaliers (pour le même prix disons + 10 % ou + 20 % en cas de grand prestige militaire). Des troupes un peu plus efficaces. Etc etc. Ca permettrait d'avoir des options clairement militaristes, belliqueuses, plutôt qu'attentistes et qui joue plus sur le réseau d'alliance et la triangulation pour grapiller des territoires par ci par là sur des seigneurs faibles.