Je conchies les debrief qui ne servent qu'à s'astiquer, les big comme des spéciales Diplo d'équipe et les foutues joutes bien sûr et je ne salue que très rarement les vainqueurs quels qu'ils soient. Bravo à tous.
De ce temps qui passe, je garde quelques traces
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Sire Gustave,
Mes yeux ne sont pas aussi bons que si qui pendouille entre mes jambes et j'avoue ne savoir situer votre province éloignée.
Vu d'ici j'aurais tendance à tourner mon regard vers le pâys de la Jupette; mais certainement car j'audience en ce moment trois jeunes femmes de Thrace.
Toutefois une collaboration future reste d'intérêt à mes yeux et mes oreilles se raviront de nouvelles d'ailleurs où qu'il se trouve.
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Bouillant Tancrède,
J'entends que vous n'avez plus de filles autour de vous et supporteriez difficilement le poids des années.
Je m'étonne. Je trouve nul problème à être toujours un peu raide le matin. Malin je garde toujours joliette près moi au lit pour m'aider à y remédier.
Ces temps-ci j'ai goût des croupes de brunettes du pays de la Jupette non loin du fief du célèbre Guronce. C'est grand réconfort de me lever laissant mes Thraces sur les draps.
Je priais cet après-midi l'Eternel d'assurer mon confort à ce sujet. Je souhaite qu'il m'entende.
Je gage qu'en cette province qui fait votre fief, devant l'immensité des grands espaces vous ayez regain d'un glaive à nouveau vaillant. Ne sais si pourrai correspondre encore avec vous dans futur plus ou moins proche, ici où je me trouve l'extérieur est aussi étroit qu'intérieur intime où je me glisse; mais là sans moindre effroi.
Nous verrons. J'aurai au moins eu plaisir vous écrire ce soir.
Nous pourrions signer une alliance comme vœu être demain encore debout et droit.
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Miss Tresse, Sublime Batarde de l'Archipel,
Le jour où vous verrez ma lance démontrer son excellence vous me permettrez vous appeler "ma chère Biquette", c'est dit en toute certitude.
Permettez que ce jour arrive, demain. Invitez-moi où vous souhaitez, je viendrai.
Patient,
Au son de mon plus bel instrument, le Marteau à Deux Boules, vous chanterez pour nous deux.
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Au Dénommé Arius,
Si ton intention future est laissé mes boules ensemencer - auprès deux merveilles Thrace qui savent faire bien pousser mon jonc- je présume qu'il serait possible que nous soyons sinon amis au moins pas des ennemis le temps que tu décides vraiment de notre sort.
Si tu t'accordes avec moi pour dire qu'il te faudra un moment avant t'enfiler tous les grecs de Guronce et pouvoir me nuire signons la paix lors de la joute royale.
Succès sur ton chemin,
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Sire Mordred,
J'ai laissé mes deux jeunes compagnes Thrace le cul à l'air empruntant la tenture qui nous couvrait tous trois pour aller pisser quand j'aperçu le vol de nuit de votre messager ailé. Je poussais un brin dans ce désert de sable qui fait mon paysage et peut paraître très vaste pour m'enquérir, curieux, de cette arrivée nocturne.
J'ai posé maintenant l'encrier sur le galbe des fesses parfait de l'une et le parchemin que vous tenait entre vos mains sur le dos de l'autre ronfleuse; éminemment satisfaites elles dorment. Dès lors, ma lance au repos, je peux user de ma plume pour tracer les lignes que vous lisez.
Votre discrétion est signe d'une sagesse remarquable, si vous voulez mon avis. L'on sent bien les italiens de cette assemblée que j'ai quitté peu francs du collier. Puis vous ne voudriez faire d'ombre -vous mettant vous aussi dans la lumière- à la pauvre Saori; de cela j'en suis presque certain.
Du Nord, je ne sais que ce que ma chère Batarde veut bien m'en dire. Mais ma Miss Tresse préférée se refuse bien trop souvent à moi. Nous conversons mais elle feint ne rien vouloir savoir du grand bien que pourrait lui apporter mon marteau à deux boules pour se sentir bien détendue lors des combats.
Je ne sais ce que vous même pourriez tirer de mon goût marqué des mots mais si vous aimez les discussions vous auriez tort vous en priver fut-ce avec ceux dont vous vous méfier. Se contenter des dires de ses amis intimes c'est se restreindre à l'isolement.
Si l'ailleurs vous plait autant qu'à moi vous pourriez entretenir quelque relation épistolaire avec un bon sire, Elad vous le nommerai; quoique en ce moment il se peut bien que sa plume soit sèche, le pauvre à d'incessants problèmes de boyaux et passe son temps aux communs. déjà assis sur son trône le bougre. Demandez lui donc, en guise d'introduction, si ça va mieux, vous pouvez lui dire que je vous ai, moi, parlé de sa santé.
Puis, vous ne devriez négliger rendre hommage à l'Eternel. Qui sait peut être réussirez-vous à l'atteindre au point de recevoir sa bonne parole.
Enfin approcher Guronce même si considéré comme un ennemi ne vous coutera que six, sept gouttes d'encre noire. Parfois utile pour ne pas perdre cinq à six litres de sang rouge.
Je ne vais pas tous cités, trop nombreux ceux avec qui j'échange quelques dires. Vous av~~~~~~~~~~~~
Mais ! Holà! l'encrier a failli verser et j'ai manqué percé le parchemin. Elles s'éveillent. Il me faut ici vous quitter et reprendre là où je les avais laissées. N'hésitez pas m'en dire plus, de vous, de l'ici et du là bas, et même des riens du tout.
Au plaisir,
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Recevez mes salutations, vieux mais toujours vaillant Tancrède.
J'aurais souhaité discuter d'autres choses que de grandes stratégies diplomatiques mais vous m'avez averti que vous préfériez que je garde pour moi les sujets qui m'importent plus; grivois, je l'entends mais ils me font du bien.
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Seigneur Brand,
Si vous vous engagez à jamais me surprendre dans le dos quand je chevauche mes deux jolies compagnes Thraces.
Si vous vous accordez à vouloir aider un tant soit peu l'illustre et si peu fortuné seigneur Guronce.
Si vous vous préparez à subir maints arrivages de pigeons porteurs de missives n'ayant pas forcément sens.
Alors vous signerez, porté ce jour près la scriberie royale, le parchemin d'alliance avec ma médiocre Maison .
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Cher Tancrède,
Je ne vous dirai pas où je me trouvais quand arriva votre message vous seriez capable de me réclamer dommage et intérêt d'avoir fait rougir vos chastes oreilles.
Quoiqu'il en soit j'ai encore la force de vous lire en cette heure avancée de la nuit- ce qui n'est pas le cas de la joliette que je viens de quitter. Notez toutefois que j'essaie de faire glisser ma plume le plus doucement possible sur ce morceau de parchemin vous tenez maintenant; il ne faudrait pas que mes deux mignonnes s'éveillent où bien à devoir remettre en jeu mon couvert à deux pièces au risque de le voir tomber entre leurs douces mains.
Bref - si tant est je peux l'être- j'organise une joute avec cependant quelques invités extérieurs qui ne me permet pas pouvoir convier tous vos gens. Aussi, vous et deux de ceux-là pourraient bien les rejoindre s'il prononce le mot d'accès à ma lice : houmouss
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Au Maghreb
J'ai diploté pas mal pour vous (nous), pensé à des ventes plutôt à vous qu'à moi et l'Europe passe son temps à me faire chier avec Guronce quand j'espère chaque trimestre que le Maghreb se réalise comme il est autant présent dans
mes messages vers l'étranger.
Si encore j'arrêtais de bouffer du sable à chaque joute et que j'ai un brin de réussite. (pourquoi je parle des joutes?! pas envie de regarder si vous n'êtes pas venu à celle j'organisais)
Même pas ça pour me redonner du peps. Pire que niquer un bouc !
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Seigneur James,
J'ai beaucoup d'aigreur pour ces maghrébins que j'ai portés jusqu'ici.
Tous ont ce qu'ils ont en Espagne parce que j'ai beaucoup pensé un nous plutôt qu'un moi.
Quand Calydan acheta Valencia à ma place, lors que j'obtins pour lui Andalusia et Grenade, je ne dis rien.
Quand Sagramor me prit Apulia lors que j'optais pour lui une vente de Baléares de mon ami Al Zghard, je commençais un brin à m'échauffer.
Quand aucun des deux ne vint à mes joutes, quand mes pigeons s'essoufflèrent à leurs porter mes messages crevant sur place d'attendre une réponse, quand je les vis parler ici et là en place publique m'ignorant purement et simplement, quand j'en eus marre d'avoir diploté pour ce ramassis de jean-foutres mille et un trimestres, je me désintéressais de tout songeant simplement à reprendre ce qui aurait du m'appartenir. Le reste, l'Europe, mes foutus italiens, leur guerre, leur trône j'oubliais tout pour peu que je fesse ces mauvais compaings. Et j'en viens à me convaincre que si j'arrive à prendre leurs terres comme je réussis à faire de celles de ces casse-couilles d'italiens- l'Alberto et la bonne Poire du Verger_ mon histoire sera en tout point satisfaisante.
Je suis bien malheureux que vous n'ayez comme bonne volonté que celle dictée par le peu aidant Calydan.
Rien sur le fléau italien, qui fit notre histoire. Rien sur le pas en avant-pas en arrière concernant Ilmir et l'Espagne. Rien sur une idée communautaire qui fit durant maintes saisons l'entente du Maghreb.
Plus encore je suis profondément désolé de vous imposer mon peu d'entrain à recréer du lien; celui que je tissai - bien seul maintenant je le vois - tout au long des trimestres passés.
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Cher Vieux Tancrède,
J'ai du faire face à des impératifs familiaux très compliqués au point que j'en ai oublié de niquer comme l'étalon que je suis. Putain presque trois semaines! J'ai les génitoires comme des melons !
Mes maitresses ne me l'ont pas excusé; j'espère que toi tu pourras.
J'ai été aussi assez enragé des manières de Calydan et Sagramor qui obtinrent beaucoup de choses de mon jeu diplomatique et du Maghreb que je portais finalement assez seul. Et bien entendu je n'ai jamais eu le retour que je pouvais espérer de leur part. Un sentiment d'abandon terrible s'ajouta à mon état d'âme déjà au plus bas.
Pire Calydan/James a maintenant pris parti pour les italiens - ceux-là qui noircirent nombreuses pages de l'histoire de l'entente du Maghreb. J'ai pourtant eu un sursaut de volonté pour prendre ma plume et lui narrer un peu d'histoires de chez nous.
Je me suis un peu remis de tout ça.
La guerre sera déclarée ce trimestre.
Les chiens seront punis sans qu'il n'ait besoin de crier au loup par toute l'Europe.
Nos rapports me sont précieux - comme tenter t'être agréable cher acariatre seigneur.
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Seigneur James.
Que dire.
Votre passage à la Régence n'a pas été la plus Belle Epoque pour moi.
Et je ne sus pas tourner une page sur l'Histoire du Maghreb. Et n'ai fait grand chose pour une Renaissance, si ce n'est unique message.
Toutefois je ne vous déclarai pas la guerre. Après tout vous voir plus de terres en Espagne était un frein à la Reconquista italienne qu'il nous plaisait si peu jadis.
Qui sait il nous reste peut-être Cent-Jours si la lance laisse quelque temps encore. Alors je n'attaquerai aucune de vos possessions. Mais il serait plus que vraiment bon vous retrouviez l'Indépendance en vous emparant des Baléares. L'Armistice sera signé. A nouveau n'interviendrai pas dans vos diplomaties.
Quand à Guronce, ne sais. Il doit avoir soucis de riche qui s'inquiète certaine loterie des joutes. Ce n'est certes pas une Grande Découverte pour vous le savoir. Mais rien d'autre ne me vient à l'esprit pour cet adepte de la Colonisation qu'il est. Et si je ne suis pas entièrement impliqué avec lui et ses Alliés cela doit moins lui faire craindre que le hasard d'un Jeu Antique.