petit compte rendu sur une petite partie sympa. Rien de transcendant donc j'en vient aux faits essentiels, en gros la fin de la partie.
Chaque année, je fais une petite scandie, et si possible une grosse partie. L'année passée, c'était heroes 9 et Bickdick, cette année-ci heroes 21 et covid 3.
Je commence en Vasterbotten,
- à ma gauche Jels,
- au Nord, Sagramor, style en lappland
- au sud, Higgins en upsalla, plus bas Pier au danemark
- dans les iles, les pauvres theoden + Tancrede + carpediem,
- à l'est les seuls Bly (en latvia je crois) et rochester (en Vaasa).
Comme rochester et jels sont ONR, un boulevard attend sagramor + bly (je les vois se partager entre 10 et 12 terres en 5 6 saisons), et moi (je me vois à 8 terres au même moment).
Je tairai les raisons, mais higgins sera mon ennemi direct. Discussion avec tout le monde.
Sagramor fait une partie parfaite, avance très bien, saison après saison, on se fout la paix.
Bly avance étonnamment lentement.
Theoden et Tancrede sortent des iles vainqueurs de carpe diem qui a pourtant bien joué le coup (imposition 10 d'hebrides, très vite 2000h). Tancrede est fragilisé car le combat en orkney se joue entre lui et Carpediem, pendant que theoden avance sur le continent.
Higgins et bly s'allie contre Pier qui fait une très belle partie malgré sa position de départ dégueulasse. Ma guerre envers higgins le poussent à descendre vers bly, donc dans les faits, ils se prend tout dans la gueule le temps que j'arrive.
Pier meurt d'ailleurs sous les assaults du tandem bly higgins au moment où je faisait la jonction. Je m'en veut pas mal parce que j'aurais pu plus l'aider, lui vendre une terre de repli etc.
Moi, ben au tour 5, j'ai 9 terres non pillées de svartsen à koppa.
Et puis, comme souvent avec moi, je stagne (enfin je tue quand même higgins 3500h contre 5500), je grimpe mes terres, je laisse theoden grandir, je controle l'avancée de sagramor à distance jusqu'au tour 9, où, ben j'arrive à 900 de renommée, et où je gagne aisément via une joute et mes terres archi peuplée en 2 tours. Peu glorieux comme partie. Je Change mes plans du coup.
Je décide donc de faire en sorte de déclarer la guerre à tout le monde, surtout à sagramor qui arrive à 14 terres, et va bouffer bly.
Theoden me trahit, sais plus trop pourquoi.
Tour 10, j'ai 10 terres, sagramor 14, theoden bientot en guerre au sud (il a 9 terres). J'ai une économie en béton.
Tour 11, sagramor me surprend, trop confiant, je ne dépense pas trop de fric, je sais qu'il a fortifié 3 ou 4 terres, et me disant qu'il va défendre en statique, ben j'attaque viollement avec 2 gros chevaliers, et fait quelques attaques éclairs contre ces attaques retraite directe. Hors, il sort de ces forteresses, et attaque 2 de mes terres (mes chevaliers attaquent éclairs se font punir), mes grosses attaques restent du coup sur place, dégageant ces 2 sorties certes, mais m'empechant de glaner ces terres..
Du coup, j'ai toujours 10 terres, lui 16, l'horreur!! En plus theoden en guerre au sud sur 6 terres concommitantes
Tour 12, je recrute pour 100000 écus, largage de bombe dans tout les sens, 8 attaques de terres à 5000 6000h, 6 autres à 1000 2000, je tue theoden sur le coup (ne jamais mettre une retraite à 0 homme sur ton chevalier seigneur - et même sur les autres - mais je te l'ai déjà dit lol), sagramor, lui ne ruine pas, défend très humblement ces terres, c'est une boucherie sans nom. Bon je me félonise betement sur une attaque face à bly (avec qui je suis devenu neutre, tout content de voir que qqch se passe, et que je m'en prend à sagramor).
Sagramor passe de 16 à 13 terres.
Moi de 10 à 18.
Fin de la partie tour suivant à 22 terres, 50000h, 900 de renommée.
Félicatations à tout le monde, petit compliment à tancrède, seulement 3 parties, j'en ai fait 2 avec toi, vraiment un bon seigneur, qui finira finalement 3eme malgré un départ de feroe, à Bly, sais pas ce que t'as foutu pendant quelque tour, mais quand la guerre est là, tu résistes super bien, et à mon allié sagramor, je ne pouvais pas finir sans une opposition face à toi...
Salut à tout le monde.
Silent
]]>Hélas je n'ai pas réussi à convaincre le bras à armer....
Bref Maitre Espion mais pas de Maitre Assasin!
]]>En ce qui me concerne, petit debriefing après cette campagne
Je commence en Livonia avec le pouvoir suivant : Calydan, dit l'Évèque (double le malus de prestige de l'avoir comme ennemi).
(Un pouvoir assez dissuasif pour éviter quelques déclarations de guerre en début de partie mais qui d'après moi, ne me servira plus à grand chose pour le reste de la campagne).
Les royaumes voisins prochent de moi sont celui de Theoden le Pillard en Vaasa et de Burnov en Musa. Autre voisin proche qui peut être susceptible de m'impacter, Sagramor en Denmark. Sinon deux seigneurs dans le Nord, deux seigneurs dans les Iles et deux seigneurs au centre (Sun Tzu et Guronce).
Ma stratégie de départ reste simple, nouer une très bonne entente avec l'un de mes voisins pour partir dans l'autre direction pour avancer rapidement. De base, je vois cela avec Theoden car le chemin pour le Nord me semble plus compliquer que de partir vers l'Ouest. Sauf qu'entre temps, j'échange avec plaisir avec mon voisin, le sir Burnov et une entente apparait très vite entre nous, pour parir ensemble vers l'Ouest (il souhaite rajouter dans la boucle Sagramor). Je signe également alliance avec Theoden qui m'indique vouloir conquérir le Nord et compte sur moi pour viser l'Ouest. Chose que je confirme.
Pendant ce temps, je contacte le reste du monde avec notamment un échange avec Sun Tzu qui me laisse présager d'un futur conflit avec Guronce. Les seigneurs des Iles seraient également à ces côtés ... à voir ce que cela va donner. J'échange également avec Guronce qui me propose une alliance.
Pas de réponde du Nord et pour cause, deux ONR (l'un va réaparaitre brièvement et l'autre sera remplacé par Ozric, merci à lui d'ailleurs).
Là je commence à m'inquiéter car Theoden va pouvoir débouler tranquillement dans le Nord avec aucune résistance en face. Guronce part (de mémoire) lui aussi en direction du Nord mais il se fait immédiatement menacé par Sun Tzu et ces alliés Iliens par le Sud.
Sachant que moi même je pars en direction de l'Ouest, vers Gotland.
J'entre en contact toutefois avec les seigneurs du Nord pour essayer de mettre au point une stratégie pour pouvoir ralentir Theoden. Les échanges fonctionnent, je joue contre mon allié mais c'est avant tout pour me laisser le temps d'avancer vers l'Ouest qui devient vite bouché (Burnov, Sagramor, Guronce, Sun Tzu et les Iliens). Hélas, malgré mes avertissements de ne pas chercher directement le contact, Elender le Vieux lance une attaque en LORHAR-JARVI. Ce dernier étant moins bien renommée et moins bien armée, se fait tuer au combat et booste le chevalier seigneur de Theoden à plus de 140 de renommée. Bref c'est une catastrophe et je vais devoir changer de stratégie sans tarder.
En effet, je décide de faire demi-tour pour aller me placer sur les arrières de Theoden, que je vois monter sur le trône sans problème si je n'interviens pas directement. Fort heureusement, mon chevalier seigneur est bien placé pour rejoindre en deux tour (tout de même) ma province de Novgorod ou je compte lancer mon attaque contre Theoden (qui est toujours mon allié à ce moment de la partie, au tour 4).
Dans le même temps, Burnov annonce son départ, demande un remplacement mais personne ne se lance dans une régence. J'annule mon alliance avec lui, lui déclare la guerre la suivante (Sagramor peut faire la même chose mais étrangement, il ne le fera pas alors qu'il pouvait prendre facilement deux terres également).
Au tour 5 je gagne la royale, mon chevalier seigneur devient le plus puissant chevalier du royaume et j'empoche les 15 000 écus pour lever une armée.
Au tour 6 je lance mon action contre Theoden, en faisant un baiser d'Alzgard (je déclare la guerre à Guronce ce qui fait sauter dans la foulée mon alliance avec Theoden qui est l'allié de Guronce et qui me permet de déclarer la guerre à Theoden sans être félon). Je suis en personne en Novgorod, une bonne armée déjà recruté, des terres riches et d'un rapport d'espionnage de Kymia, qui m'indique la présence d'un seul chevalier de Theoden et aucune fortification.
Pour la suite, je m'attends à ce que Theoden tente une attaque pour me ralentir en Novgorod tout en m'attendant derrière une forteresse cachée en Vaasa ou en Mikkeli. Je vais lire dans la semaine un message de sa part sur le forum pour dénoncer ma trahison envers lui et qu'il trouve cela grisant au point d'avoir réflechi à laisser tomber la partie. Alors qu'il était toujours en course pour le trône ... Je m'attends à une attaque massive en Novgorod, je recrute en conséquence, donne 600 hommes à un petit chevalier pour prendre Kymia et je programme une attaque défense de Novgorod. Résultat, Theoden recrute bien massivement mais pour défendre Kymia. Mon petit chevalier meurt mais possédant toujours Novgorod, mon chevalier seigneur se lance à l'attaque de Kymia et massacre l'armée de Theoden. Cette victoire fait également monter ma renommée tout en gardant la 1er place au classement général.
Je vois ainsi l'occasion de gagner en conquête militaire et en renommée en même temps.
Dans le reste du monde, Sagramor aide Guronce dans sa guerre sans fin contre Sun Tzu et les Iliens. Je n'ai pas toutes les données mais j'ai cru comprendre que la coalition (Sun Tzu, Montloup et Guillo) ont eu des problèmes de coordinations et de communication pour vaincre un Guronce en mode indestructible ^^
Je m'excuse d'avance pour les éventuelles erreurs ou oublis que peut comporter mon retour de cette partie.
Calydan
]]>Parti des Iles, avec une alliance initiale avec Montloup et pour en sortir, je ne pensais pas être à un moment donné capable d'atteindre la couronne.
La sortie des Iles et toujours délicate, et si l'on a pas d'allié fidèle cela tourne rapidement au cauchemar et à la survie
Montloup l'a été et m'a permis de me mettre en place et de développer une belle tête de pont.
Un passage ves l'est à travers mon allié pour attaquer Rosskill et le réduire, tout en me fortifiant face au déboulé de celui que je pensais se faire couronner., DRaknor
.
Je lance alors une opération de pression et diversion à mon sens pour soulager Higging et Zoulou en attaquant vers le Nord, mais à la limite de mes moyens, set sans vraiment appuyer mes attaques
Et puis mon brave Cunelgas, bien faible, perce la défense, et puis j'ai l'impression que je Draknor lache la partie.
Alors, assez mal positionné avec des alliances qui s'annulent, je me retouve coincé entre mes possessions de l'Est avec la quasitotalité de mes troupes, et mes possessions à l'Ouest, avec de bons chevaliers mais très peu de combattants. Si la spécialité espionnage avait été donnée à l'un ou l'autre de mes adversaires, je pense que je ne serai plus de ce monde pour vous en parler, car mon positionnement était vraiment à la limite...
Ceci explique en partie mon action lente.
ET puis je commence à comprendre les choses, un peu avant la chute de Draknor, je risque fort d'être la prochaine cible d'une meute qui s'est créée.
Aussi je fais en sorte de réduire ma renommée grimpante, en me permettant de rester au milieu du tableau.
Je ne suis pas un fan des joutes.
Et puis arrive ce qui dois m'arriver je me fais lacher ducement par tous, et je constate que je peux être couronné, mais que j'ai un créneau d'une saison pour jouer mon va-tout
Zoulou, mon dernier allié fidèle me lache.
Allant être la cible de tous, je décide alors de faire le moins probable et e me féloniser sur mon ancien allié, et d'attaquer partout où ce n'est pas vraiment "sensé" car la menace venait d'ailleurs. Bref gagner plus que perdre, et essayer de fixer mes adversaires.
Au prix de cette félonie, me voilà Roy.
Si Zoulou m'avait laché une saison avant, ou d'ailleurs plutot pas laché, je n'aurait pas réussi ce coup
Ma capacité de racheté mes chevaliers prisonniers au combat a été payante sur la fin, car elle m'a permi de récupérer Cunelgas qui a porté une attaque fixante importante
Merci à tous pour ces 5 mois de campagne
]]>Comme faut jamais faire ces courses quand on a la dalle.
]]>Les batailles étaient sympa!
Et mon engagement face à toi, finalement permet à Albert de conquerir le trone, car je ne lui ai pas contesté!
Le bonus d'organisation des joutes est sympa
Je pense d'ailleurs que c'est dans une Euro qu'il sera le bien venu, car c'est un bel outil diplomatique
]]>Tu as bien résumé la partie.
De mon côté, j'ai joué les fournisseurs d'armée, surtout à Bly et même si ça a moins servi, à l'Amazone.
Je tiens à remercier (et féliciter) Amonbophis pour sa résistance et les prises de tête tactiques qu'il nous a offert. Du vrai jeu quoi! Comme je l'aime.
Mais sinon, cette partie n'a fait que me confirmer ce que je savais déjà à vrai dire : les félonies involontaires sont une plaie et les gains de renommé en joute sont du pur délire par rapport à ceux en combat.
Et pourtant, j'ai plutôt profité des unes comme des autres.
La félonie de Sagramor nous prive d'une belle bagarre et de solutions diplomatiques au sud.
Si la 1ère félonie (volontaire) de Penthé est un vrai coup de poker auquel j'applaudis, la 2ème félonie (involontaire) aboutit à un ONR qui déséquilibre la situation du Nord et ouvre un boulevard à Jusuf. Au final, les options de jeu s'appauvrissent.
Franchement, ces deux félonies m'ont juste donné envie de continuer à jouer avec Amonbophis et Bly.
Un autre regret, c'est la diplomatie au silence assourdissant d'Amonbophis. Je pense que s'il avait essayé de négocier on aurait surement pu trouver des terrains d'entente. Surtout après la chute de Penthésilée.
Conclusion :
Je ne suis pas prêt de me réinscrire sur une Euro/Big/MO en l'état actuel des règles.
Sur les scandies, les félonies involontaires sont plus faciles à éviter et l'impact des joutes est amoindri. Même si forcément la carte offre moins de richesses tactiques et diplomatiques.
Mais bon... Il n'aura pas fallu longtemps pour que les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Je commence à l'Ouest entouré d'Alzgard et d'Orcrist. Je prends rapidement contact avec eux et tente d'instaurer un triumvirat. Dès le début, l'un et l'autre me disent de ne pas faire confiance à l'autre et de me méfier. Je suis à la fois heureux et bien inquiet d'être tombé entre les deux favoris d'entrée (rien que par leur nomà de la campagne. Mais c'est ainsi.
Fidèle à ce que je suis, je pars bille en tête vers l'Est sans me poser de question. Ma stratégie est couronnée de succès, je gagne la royale, j'écrase Pentos qui est ONR pendant que Romualdus et Haddock sont hors course. Avec mes alliés, tout va bien, du moins je le pense à ce moment là. Problème territorial avec Orcrist à qui je revends Norway, puis avec Alzgard, à qui je revends Fjordane. Je compte respecter ma parole et ils respectent la leur, ce qui est parfait.
Je m'entends avec Orcrist pour nous en prendre à Artaz, en enchaînant. Ce dernier a été pris de court et se retrouve face à mes troupes et à celles d'Orcrist, qui lui a déclaré la guerre. C'est le premier tournant de la campagne pour moi, et il sera décisif. Artaz prend contact avec moi et commence notre balade habituelle sur ces parties. Il me fait savoir, à moitié pour rire, qu'il trouve comique que je sache pertinnemment que mes alliés comptent me trahir, mais que je les soutiens quand même.
Ici, Artaz pense que je suis parfaitement au courant, alors que je tombe des nues. J'avais une confiance aveugle en Alzgard, et en Orcrist. En réalité, j'apprends qu'Orcrist et Alzgard se parlent entre eux pour savoir qui me digérera pendant que Theoden prévoit même de me déclarer la guerre, c'est Alzgard lui même qui me l'avoue, en prenant cependant soin de me faire savoir que si j'ai mieux à offrir, il se retournera contre Theoden. Orcrist, quant à lui, me fait carrément savoir qu'il ne compte pas me trahir maintenant, mais pour remporter la victoire si besoin.
En une saison, je passe d'une campagne sereine à une paranoïa totale où je comprends que tout le monde attend que je tombe. Je sais que Theoden arrive, la seule chose que j'ignore c'est si Alzgard va l'aider avec le concours d'Orcrist, auquel cas je vais me faire détruire en cinq secondes. Mon seul espoir est alors de collaborer avec Artaz pour une raison simple, qui sera mon leitmotiv : je suis trop imbriqué avec Orcrist pour faire des plans tout seul ou pour le laisser tomber. De la même façon, une guerre ouverte avec Alzgard ne servira pas mes affaires.
Mon idée est alors d'essayer de naviguer un coup à droite un coup à gauche pour que les puissances se neutralisent : je sais que s'ils se font face à face, ils ne pourront pas déclencher de plan contre moi. Je contacte alors Artaz pour lui fournir 3000 hommes, qu'Orcrist attend. C'est ma première trahison. L'idée est au mieux de tuer Orcrist sur le coup s'il n'est pas précautionneux et au pire de détruire l'armée d'Artaz et d'Orcrist en une seule bataille. Evidemment, Artaz ne me croit pas et se replie, ce qui me met dans une position très fâcheuse avec Orcrist : je sais que j'ai perdu toute sa confiance. Mais je sais aussi qu'il a besoin de moi, comme j'ai besoin de lui.
Je pulvérise 12 000 hommes de Theoden contre à peine 1000 pertes de mon côté. Je n'ai vraiment pas compris cet entêtement alors que j'ai écrit à Theoden pour lui proposer de passer sur mes terres pour affronter Orcrist. Alzgard y a été favorable, Theoden n'a jamais donné suite. Très bien.
Du côté d'Artaz, le transfert des hommes aura au moins acheté sa confiance, j'obtiens donc qu'il épargne Gotland pendant que je repousse Theoden. J'écris à Orcrist pour essayer de rétablir notre partenariat : il va reprendre sa marche en avant. J'en profite pour trahir Artaz cette fois, en jouant le jeu avec Orcrist, à qui je vends Saarema.
Artaz est crucifié et pour ainsi dire, éliminé. Il ne me préoccupe plus. Ce qui me préoccupe c'est que je n'ai plus de contre pouvoir pour ralentir Orcrist. Mon territoire continue à grossir. Orcrist me demande de défendre Saarema puis de lui vendre dans la foulée. Evidemment, j'accepte car je sais pertinemment que je ne peux pas lui vendre cette terre une seconde fois. Anecdote : je ne sais plus si j'ai vraiment passé l'ordre ou pas, dans tous les cas il ne s'affiche pas au commun. Orcrist me demande comment cela se fait : je lu dis la vérité, je ne peux techniquement pas lui vendre la terre même si je le voulais. Ce que je ne lui dis pas évidemment, c'est que je le savais pertinnemment. Ce problème de commun (ou mon oubli) érode encore un peu plus notre confiance mutuelle.
Alzgard entre en guerre contre Theoden, l'occasion est trop belle et Orcrist me pousse à déclarer la guerre à Alzgard. En réalité, là est ma mauvaise appréciation. J'écris à Alzgard pour avoir son soutien en cas de trahison de mon côté d'Orcrist. Pour camoufler ces tractations, je le préviens que je vais lui déclarer la guerre. Alzgard n'a strictement aucune confiance en moi, sans que je sache réellement pourquoi. En réalité, Orcrist n'en a cure et en profite pour faire son coup...
Sacré coup. J'avais prévu qu'Artaz, que je préviens de ne pas faire confiance à Orcrist, s'allierait avec lui. J'avais pensé qu'Orcrist transférerait des hommes à Alzgard pour l'aider à me repousser voire à m'assassiner, raison pour laquelle j'ai fait filtré de mauvaises informations à Orcrist sur la terre que j'allais attaquer. Inutile puisque son plan est bien différent, et que je me fais humilier : je n'ai même plus la capacité technique de l'empêcher de ceindre la couronne.
J'essaye de mobiliser l'ensemble des seigneurs car objectivement, il reste de la place pour une fin de campagne endiablée, je suis prêt à tous les sacrifices. Artaz, amer, s'en prend verbalement à moi pour me discréditer. Alzgard veut bien marcher avec moi. Theoden s'en fout royalement et Calydan ne prend pas la peine (ou n'a pas le temps) de me répondre. Je sais que c'est fini, j'écris donc à Orcrist pour l'informer que personne ne bougera et que je vais me suicider en lui vendant toutes mes terres : je désire alors m'assurer que si quelqu'un bouge, il sera quand même couronné.
En bref, j'ai tenté comme j'ai pu d'équilibrer toutes les forces qui étaient autour de moi, en y parvenant dans une limite raisonnable. Certains n'ont pas arrêté de me dire que dans tous les cas même sans le coup d'Orcrist, je n'avais aucune chance. Je continue de penser que la réalité aurait été bien différente, mais alors à quoi bon y penser si j'avais perdu depuis le premier tour. C'est toute la différence entreles grands joueurs et les novices, dont je fais partie.
Pour éclaircir certaines choses cependant puisque je vois que les "trois quarts" de la carte ont raison de m'en vouloir :
- Je n'ai jamais menti à Alzgard, qui lui en revanche s'est bien empressé de me trahir. J'ai tendu la main à Theoden qui m'a trahi lui aussi, à plusieurs reprises sans qu'il ne daigne y répondre. Je n'ai eu aucun contact avec Calydan.
- Les deux seuls seigneurs que j'ai trahis sont Artaz (je ne le nierai pas) et Orcrist, qui sont de toutes façons également deux gros traîtres sur cette campagne.
Pourquoi faire confiance à Orcrist plutôt qu'à moi ? Jamais je ne le comprendrai, surtout s'il était évident depuis des saisons, comme certains le pensent, qu'il était ultra favori : quel intérêt donc à le privilégier ? Suis-je si horrible que ça ? Visiblement, oui. Alors que j'ai fait tout mon possible pour survivre et que je n'ai espéré la victoire que sur la dernière saison, où mon sort s'est en réalité scellé très brutalement.
Autant Artaz avait des raisons de me détester, autant Alzgard, je n'ai jamais compris son entêtement à ne pas vouloir jouer avec moi. Avant que je lui déclare la guerre, il me dit me faire confiance, mais s'empresse de tout raconter à Orcrist. Je comprends alors qu'il est tellement meilleur que moi.
Pour répondre à Artaz : oui j'ai été allié à Orcrist longtemps, trop longtemps visiblement. Mais je n'avais pas le choix puisque mes terres étaient complètement drainées et que j'étais trop lié à Orcrist. Pour le trahir, il me fallait l'appui d'autres seigneurs : j'ai essayé avec toi Artaz, mais tu n'y a pas cru (à tort ou à raison vu l'attaque initiale d'Orcrist). J'ai essayé avec Alzgard qui a préféré se tourner vers Orcrist (pour des raisons que je peine à comprendre). J'ai essayé avec Theoden qui n'a même pas répondu malgré l'appui d'Alzgard. Trahir Orcrist, c'était au mieux détruire nos chances à tous les deux de jouer la gagne, au pire de me faire expédier en deux tours et de lui donner la couronne.
Mes seuls regrets donc : soit ne pas avoir accéléré contre Artaz et ne pas trahir Orcrist au départ. Soit avoit trop tardé à me décider contre Orcrist. Ici je plaide coupable et c'est l'espoir au vu de ma situation qui m'a eu.
Dans tous les cas, la déception de ma partie est à la hauteur de sa qualité. C'est donc extrêmement humilié et amer que je termine cette partie mais je ne peux que m'incliner une nouvelle fois devant Orcrist, et devant ma navrante prestation.
De grands joueurs que l'on croise trop rarement. Il fallait que ça me tombe dessus, c'est comme ça, c'est l'histoire.
]]>Après 27 saisons de lutte, je suis extrêmement fier d'avoir fait partie de cette coalition.
Tout commence en Ecosse, avec Olaf et Higgins. Nous sommes 3 collés les uns aux autres. Un peu plus loin, trois seigneurs se disputent le centre. Au Nord et à l'Est, un boulevard incroyble pour les seigneurs.
J'écris à Olaf et Higgins, mes voisins, pour leur proposer une alliance indefectible : nous n'avons aucune chance si nous nous battons. Dès la saison inaugurale, nous nous mettons d'accord, le Clan Campbell voit le jour : nous vaincrons par alliance, ou mourrons tous ensemble. Nous nous répartissons les tâches. Je serai la guerrier, Olaf le défenseur et Higgins le soutien. Je pars bille en tête avec Olaf pour me battre contre les seigneurs qui nous bloquent la route.
Assez vite, nous entrons dans des guerres assez violentes : je tue Montloup dans les premières saisons avec un débarquement très brutal. Puis nous nous battons avec Eglantine et Sagramor. Ykar, bien tranquille dans son coin, lance des appels à la coalition contre nous. Elle met du temps à se former mais finit par s'installer.
Ce sera donc la guerre des "5 rois" comme elle fut appelée par Ykar. 5 rois contre 3 frères écossais. Je dus m'absenter pour des raisons de santé et Ozric reprit très bien le flambeau. A mon retour, la guerre contre Dragan et Sagramor faisait rage et ils avaient presque l'avantage. J'ai trouvé un moral en berne mais très vite, mes frères sont repartis de plus belle.
Avec patience, détermination et une coordination (presque) sans faille, nous avons réussi à bloquer Dragan puis à poursuivre Sagramor jusque dans les steppes nordiques pour vaincre. Nous terminons avec 15 terres chacun, la totalité de la carte couverte, et des souvenirs incroyables.
Je n'ai jamais vu de victoire aussi éclatante compte tenu de notre position de départ (3 sur les îles, avec Higgins en Hebrides, moi en Stratchlyde et Olaf en Orkney), de notre infériorité numérique (vu la coalition) et de la qualité de nos adversaires, qu'elle soit diplomatique, militaire ou sur le RP. Mais nous avons triomphé en restant alliés de la première à la dernière saison.
J'ai adoré joué avec vous tous, et ce fut une partie mémorable, qui m'a rappelé la première Sadème, et son penchant, la Sademe 2. Je remercie Ozric pour avoir repris le flambeau, et à mes camarades pour avoir aussi bien joué.
J'espère tous vous recroiser assez vite.
Et que Vive le Clan Campbell !
]]>Campagne rondement menee avec un bon melange de strategie et de diplomatie.
A l'Ouest, tout le monde s'est concentre sur Kyle alors que le danger etait ailleurs et de mon cote, je me suis laisse "endormir" quelques saisons jusqu'a ce qu'il soit trop tard pour empecher l'avenement.
Merci a tous.
Vive le Roi de Nirmae
Albert de Hesbaye
]]>Nous te laissons bien tranquillement dormir et te souhaitons une bonne nuit, profond sommeil et bonne réparation de ton esprit bien fatiqué
Au fait essaie de ne pas abuser des alcools de plantes, ainsi que des feuilles de certains plants.
Sur ce, profites bien
Sagramor
]]>Une campagne un peu fade de mon côté, entâchée par une félonie dès les premiers tours dont je ne me suis jamais relevée, j'ai pu résister un moment jusqu'à une seconde félonie, cette fois-ci par erreur de ma part!
Je transmets mes remerciements à Ozric pour son roleplay, un des Seigneurs avec qui j'ai le plus échangé au final, et à Harold pour son soutien inconditionnel.
En tant que spectateur plus que véritable acteur, je souhaite finir sur un point plus nuancé: la victoire de Spikelor qui tient à une désertion de 40 000 hommes et à un ONR. Cependant, en parallèle, le manque de réalisme et d'opportunisme d'autres seigneurs (je pense à Semaille qui a mené une belle campagne mais aussi à Kornflakes et Sagramor par exemple) a un peu déséquilibré la course finale pour le trône à mon sens.
Félicitations au Roi Spikelor!
Blanche.
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