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#1 19/07/2015 21:15:20

EURO 189 : une campagne guerrière comme il y en a peu !

Voici une bien longue et difficile qui s'achève !

Je commencerai par remercier mes alliés - Montcornet, l'allié du premier tour, qui est resté à mes côtés jusqu'au bout malgré quelques petits problèmes dans sa campagne, ainsi que Spikelor qui nous a rejoint et Kablan dont le revirement de dernière minute - et la prise magistrale de Friesland - a joué un rôle capital dans cette campagne. Remerciements également à mes alliés du début, le combattif Conrad et Baour-Lormian qui n'a pas abandonné malgré sa triple félonie involontaire. Et bien sûr, remerciements à la grande coalition de mes ennemis qui ont nécessité une attention de tous les instants, et qui auraient dû l'emporter sans un certain nombre de facteurs chances qui ont joué en ma faveur !

Mais voici maintenant sans plus tarder le débriefing de la partie vue par Guronce.


Tours 1 à 5 : L’expansion

Départ d’EURO 189 dans une position excellente, avec d’énormes quantités de terres autour. En revanche, comme toutes les EURO depuis un certain temps, il est manifeste que celle-ci sera affectée d’un grand nombre d’ONRs qu’il est assez facile d’identifier à l’avance.

Cela détermine ma stratégie du tour 1 : renommée basse, pas de déclaration de guerre, pour pouvoir m’étendre au maximum face à des régents arrivés au tour 2 qui seront coincés par une renommée plus haute. Stratégie aussi efficace que facile, mais que j’ai d’autant moins mauvaise conscience à l’appliquer que ce n’est pas faute d’avoir demandé pour les parties EURO passées de vidanger les listes d’inscriptions des seigneurs dont on sait qu’ils seront ONR…

Résultat, à la fin du tour 3, je possède sans avoir eu à combattre 13 terres.
Déjà, je pressens qu’Alboïn sera un de mes adversaires les plus farouches de la campagne. Fort heureusement pour moi, ma stratégie de renommée basse me permet de lui couper la route de Slovenia qu’il convoite, et de fermer la frontière de l'Autriche-Hongrie. Mais je le surveille de près !

Tour 4, je déclare la guerre à Alexandros, principalement pour m’assurer de ne pas être félon en finissant de conquérir les terres du fantôme Gaal de Cornick. Nous signons toutefois la paix à la saison suivante.

A la fin du tour 5, je dispose de pas moins de 17 terres, avec une économie prospère, des chevaliers – bref, une situation rêvée, mais je devine que ce ne sera pas la fin de mes ennuis.

J’ai deux alliés au Nord, Baour-Lormian et Conrad, qui sont aussi les deux autres seigneurs largement favorisés par leur position de départ. Notre alliance est d’autant plus vitale que nous sommes à peu près d’égale puissance (Baour-Lormian a lui aussi facilement pu monter à 15 terres, sans presque combattre, et Conrad un peu moins mais de très bonnes positions). En restant unis, nous pouvons dominer la partie.

Mais mon allié le plus proche – et à un moment, il sera le seul ! est la Confédération Scythe, qui rêve d’en découdre avec Alexandros et de partir à l’assaut.
 

Tours 6 à 9 : Une gestion de bon père de famille

A partir d’une bonne position de départ, il y a deux choix possibles : en profiter pour faire la guerre et prendre tout le monde de vitesse, ou se développer économiquement. C’est la seconde voie que je choisis, persuadé qu’une guerre déclarée trop prématurément fera de moi la cible d’un trop grand nombre de mes voisins, et donc causera ma perte, en me laissant combattre dans une guerre inégale qui permettra à un seigneur lointain d’émerger et de remporter la victoire (j’ai encore le souvenir d’EURO 179 où, après avoir combattu sur tous les fronts en restant en haut du classement, je me suis trouvé finalement dépassé au sprint final par Ulrich et James mieux préparés à cette épreuve finale ! …).

Ce sera donc le développement économique et les joutes : je lève des chevaliers à chaque saison, je joute à chaque saison, je gère mon économie uniquement pour le rendement économique (je ne vais notamment créer aucun « puits de bonheur » pour accumuler les écus).

Je consacre tous mes efforts diplomatiques à maintenir la paix, et freine un peu les ardeurs de la Confédération – mieux vaut ne pas partir trop tôt. En revanche, nous commençons à préparer un beau centre de recrutement en Bulgaria, pour préparer une offensive.

Au tour 9, l’espoir de pouvoir continuer longtemps cette stratégie commence à disparaître. En effet, la coalition anti-Guronce dont je devine qu’Alboïn en est le moteur a gagné en solidité, soutenue par Saori et la Démone. Les chevaliers d’Alboïn sont maintenant partout, au sud et au nord, et je sens que la déclaration de guerre est imminente, avec des attaques possibles vers toute ma frontière. Bref, une position de force dont je me remettrai difficilement. Je sais qu’il n’attaquera pas seul car il a trop peu de forces pour pouvoir gagner seul, mais que s’il réussit à attirer une coalition de mes voisins, il sera difficile à arrêter – et après, ses nombreuses extensions territoriales (Friesland, Campania, etc. ) le mettent dans la situation idéale du vainqueur par renommée dès que j’aurai été éliminé…

Au tour 9, je comprends que l’assaut va venir, et que la solution est une déclaration de guerre générale et préventive pour prendre d’assaut Cirzo, Alboïn et Alexandros. La Confédération Scythe est prête à la guerre et d’accord : ce sera donc le déclenchement des hostilités, avec une déclaration de guerre simultanée à Alboïn, Cirzo et Alexandros. Je n’ai plus guère d’espoir de retenir Conrad à mes côtés, et suppose qu’une déclaration de guerre suivra, avec ou sans « appel aux alliés ». Pour Baour-Lormian, en l’absence de réponse écrite de sa part, je ne peux qu’être inquiet, mais bon je suis au moins assuré d’avoir un tour de paix de ce côté – et puis ma frontière avec lui est bien garnie en chevaliers !
 

Tour 10 : L’éclatement de la Grande Guerre

La Grande Guerre a éclaté dans la confusion la plus totale. Une vaste coalition s’oppose à nous, il se révèle qu’elle comprend aussi Conrad et Baour-Lormian. Bref, c’est la Confédération Scythe et moi contre le reste du monde.

Mais nos ennemis ont eu quelques soucis…

Première surprise de taille : Baour-Lormian est en guerre avec moi et triplement félon. Je crois d’abord à un « baiser d’Alzgard » manqué mais la réalité est plus prosaïque : il a confondu les ordres d’alliance et de guerre dans l’interface. A ce stade, le couronnement est quasiment assuré pour moi si j’attaque au nord, quitte à laisser Alboïn avancer de quelques provinces : en effet, les terres de Baour-Lormian sont au nombre de quinze face à une frontière largement pourvue en bons chevaliers, et Conrad n’a pas assez de forces pour se défendre seul sur une telle étendue. Cela n’aurait pas été complètement une promenade de santé, car Baour-Lormian n’est pas totalement dépourvu de moyens de lutter, et j’apprendrai plus tard qu’un projet de téléportation de tous les chevaliers de Saori était en cours, mais enfin je pense que l’issue ne laissait guère de doutes. Mais bon, la partie n’aurait alors guère eu de sens et une victoire dans ces conditions peu d’intérêt. Je propose donc à Baour-Lormian et à Conrad un pacte de « neutralisation » de ses terres : elles seront inviolables, en revanche il sera libre d’apporter son soutien à ses alliés, sauf en me félonisant (en effet, il n’aurait pas été logique que la signature de la paix pour des motifs de fair-play aboutisse à une félonie qui n’aurait pas eu lieu d’être sinon).

Cette question réglée, il faut analyser le reste de la carte. Baour-Lormian n’est pas le seul qui a eu des soucis : Alboïn lui aussi a réussi à se féloniser (perdant au passage l’un des chevaliers qui menaçait mes terres depuis l’Allemagne) et, tout aussi important, les alliances de Cirzo avec ses alliés ont été coupées, ce qui brise du même coup la chaîne logistique reliant l’Italie à l’empire gréco-yougoslave.

Malheureusement, notre alliance elle aussi est touchée, et la Confédération a réussi à se féloniser aussi dans les déclarations de guerre.

Grosse chance de mon côté : j’ai un nouveau chevalier, de renommée 282, qui est levé en Bakony, à l’endroit exact d’où il peut contrer les offensives d’Alboïn à la fois en Carinthia et Slovenia. C’est sur ce seul hasard que toute la partie va se jouer : si ce même chevalier avait été en Moldavia, l’issue aurait été toute autre...

Dès lors, la définition de notre stratégie est claire :

  • D’abord, prendre le point stratégique d’Epirus et le tenir définitivement, pour assurer la séparation du front entre nos ennemis

  • Ensuite, éliminer totalement Alexandros

  • Dans le même temps, ralentir au mieux les assauts d’Alboïn puis Conrad qui va entrer en guerre

  • Une fois Alexandros éliminé, repartir à l’offensive, à la fois dans le sud de l’Italie et sur le front germano-italien

Vaste programme…

 
Tour 11 : L’offensive

La stratégie prévue au tour précédent a réussi au-delà de toute espérance ! Epirus est occupée, et Alboïn a été repoussé en subissant plus de 10 000 pertes, propulsant Invincible (le bien nommé…) en renommée et lui permettant de gagner la Royale. Invincible à 411 de renommée est en mesure de franchir les murs de Lombardy, pour peu qu’Alboïn ne la défende pas assez.

Grosse ombre au tableau : une levée de 50 000 écus a été faite par Baour-Lormian au tour 11, et je devine qu’elle sera bientôt transférée à Conrad…
 

Tour 12 : Revers sanglant

La question qui se pose au tour 12 est l’attaque, ou pas, de Lombardy. D’un côté, prendre Lombardy est un grand pas vers la victoire. De l’autre, si Alboïn lève en masse en Lombardy, il peut grâce à ses fortifications vaincre Invincible (eh oui…). Mais s’il reste uniquement en défense en Lombardy, il se paralyse inutilement.

Après de longues réflexions, je fais le pari qu’Alboïn ne défendra pas beaucoup Lombardy, et je fonce.

Au nord, je monte une grande opération pour essayer d’éliminer les renforts qui vont arriver en Meissen je pense.

Malheureusement, ce sera l’échec sur les deux tableaux : Alboïn a levé pour pas moins de 39 000 hommes en Lombardy, et je suis repoussé (d’autant plus violemment que j’avais joué le tout pour le tout en mettant une attaque à 23 000 hommes et un repli à 4000 hommes). Alboïn a également réussi à reprendre Tyrol et Verona avec deux minuscules chevaliers puisque j’ai fait le pari qu’il attaquerait en force ces deux provinces.

Echec également face à Conrad : le front ne bouge pas, il a défendu exactement où il fallait, et ma chance d’attaquer les renforts transférés par Baour-Lormian est passée. D’autant plus que son second chevalier, Ragnar, fait un bon en renommée, passant à presque 300 lui aussi.

Perte de terrain, perte de soldats, remontée progressive de la renommée des chevaliers de mes ennemis… en découvrant les résultats du tour 12 je me dis que la partie va être bien difficile – voire impossible – à gagner !
 

Tours 13 et 14 : Guronce contre-attaque

En effet, après l’échec de l’assaut contre Lombardy, la coalition anti-Guronce est, sur le papier, assurée de l’emporter : 96 000 hommes environ contre nos 50 000 et quelques.

Lle revers subi en Lombardy et la domination écrasante de l’ennemi qui va au final me sauver, grâce à deux revirements diplomatiques.

En effet, victorieux en Lombardy qui n’est plus menacée du tout par mes chevaliers (Tyrol et Verona sont repassés sous son contrôle), Alboïn présente un empire tentaculaire qui a des ramifications partout : l’Italie est sous son contrôle (avec un centre de recrutement en Campania), il a des extensions en France et toujours cette superbe position en Friesland. Friesland qu’un de ses chevaliers les plus puissants vient de rejoindre, et à partir de laquelle il pourra tenir en respect et/ou attaquer, selon son bon plaisir, Conrad et Kablan, ou alors l’emporter par renommée en multipliant les puits de bonheur.

Cet état de fait me permet de me rapprocher de Conrad et Kablan.

Avec Conrad, nous commençons à pacifier nos relations, de toutes manières je ne veux pas le combattre lui en laissant Alboïn, Silent et Saori tirer les marrons du feu. Nous convenons donc que je ne l’attaquerai pas et que je mettrai toutes mes forces contre Alboïn et Silent, en le laissant progresser sur mon territoire – si c’est l’un de mes ennemis qui doit être couronné, autant que ce soit Conrad qui fut mon allié au début. Je vais donc lui abandonner Moravia, ne prendre aucune de ses terres (alors qu’il y a des trous béants à partir de Bavaria), et déplacer toutes mes troupes en Carinthia pour affronter Alboïn.

Avec Kablan, nous échangeons sur la situation de Friesland et construisons un plan pour qu’il puisse prendre Friesland par félonie : la difficulté en l’occurrence n’étant pas de prendre la province en question, mais que Kablan ne perde pas (trop) de renommée personnelle et surtout ne voit aucun de ses chevaliers déserter. Cela réussit ! Alboïn n’a pas vu venir l’attaque, et perd sa province avec le rapatriement de tous ses chevaliers en Italie ! Mieux, grâce aux combinaisons des actions (attaques, joutes) Kablan n’a pas beaucoup perdu en renommée et tous ses chevaliers sont restés, avec un autre de ses chevaliers monté à presque 300 de renommée. Par cette opération brillante, il s’est débarrassé de l’épée qu’Alboïn avait dans son dos et a pris le dessus sur Clopin.

Au début du tour 14, les discussions sont mûres avec Conrad pour la signature d’un traité de paix : je lui abandonne définitivement Moravia, lui laisse occuper Austria, et en échange nous signons la paix. Je l’incite également à déclarer la guerre à Alboïn, car il est en position de force. Et je décide de faire « tapis » en misant la totalité des mes troupes du nord (un peu plus de 50 000 hommes) dans l’assaut contre la forteresse de Lombardy, et la totalité de mes troupes du sud (un peu plus de 20 000) dans l’assaut contre la forteresse d’Apulia. Faites vos jeux, rien ne va plus : si mes ennemis anticipent cette attaque et lèvent des soldats comme des forcenés, je suis perdu définitivement.
 

Tour 15 et 16 : le couronnement

Les résultats du tour 14 tombent et c’est le jackpot : ni Lombardy ni Apulia n’ont été renforcées en hommes, et mon pari a été réussi au-delà de toute espérance avec la chute des deux enceintes fortifiées avec des pertes très limitées pour moi, et l’Italie qui est prête à tomber comme un fruit mur. Au-delà des pertes militaires, la capacité militaire d’Alboïn est arrivée au bout et ses attaques au tour suivants seront quasi inexistantes.

Conrad et moi avons respecté notre accord à la lettre et signé la paix, mais il n’est pas entré en guerre contre Alboïn comme je l’espérais, mais a au contraire resigné la paix et de plus est venu me bloquer en Switzerland avec un petit chevalier.

Mais qu’à cela ne tienne : la couronne est désormais à ma portée, et peut être obtenue en deux tours. Je suis presque assuré de dépasser les 31 terres au tour 15, il restera à les confirmer au tour 16, j’espère bénéficier de la victoire en joute royale pour m’y aider, compte tenu de la grande supériorité qu’ont pris mes chevaliers.

Compte-tenu du maintien de l’alliance entre Alboïn, Silent et Conrad, je me prépare au cas où à deux scénarios pour le tour 15 : une déclaration de guerre de Conrad, voire une attaque par félonie. Dans cette seconde option, je m’assure surtout que, s’il franchit ce pas, son chevalier Ragnar désertera automatiquement.

Une autre priorité de cette fin de partie sera, outre d’être couronné, de faciliter la revanche de Spikelor contre Saori, en lui fournissant les hommes qui lui permettront de reconquérir Tripolitania.

Finalement, le tour 15 se passe bien et je monte à 34 terres, Conrad m’a re-déclaré la guerre comme je le craignais mais n’est pas en position de me faire perdre assez de terres pour que je repasse en dessous de 31. La victoire semble assurée, mais pour ne pas prendre de risque je vais encore lever pour 80 000 écus en hommes, en pillant toutes mes terres.

Bilan : face à Conrad, nous échangeons simplement nos terres, avec des pertes légères de mon coté, un peu plus lourdes pour lui mais surtout la mort de deux chevaliers. En nombre de terres, le front reste constant. En Italie en revanche, mes ennemis ont préféré renoncer à combattre, sachant qu'il n'y avait de toutes façons presqu'aucune chance de me faire retomber en dessous de 31 terres. Résultat, je prends 5 terres de plus en n'affrontant que quelques garnisons de paysans. La couronne est désormais mienne - restera à reconstruire l'Europe, vaste champ de ruines. Une partie au total qui de mon point de vue s'est révélée belle et intense, même si elle a été un peu faussée par le trop grand nombre d'ONRs au tour 1.

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#2 19/07/2015 22:15:52

Ozric
Dragon-Gardien du Trésor Royal
Blason de la Maison Ozric

Re : EURO 189 : une campagne guerrière comme il y en a peu !

Intéressant le point de vue du vainqueur. De mon point de vue de perdant (depuis belle lurette dans cette Euro), la victoire de Guronce me semblait inévitable depuis longtemps...

Vive le Roi Guronce !


53 - Le Jeu :
Souvenez vous que, quoi que vous fassiez, c'est un jeu. Jouez votre rôle. Si c'est un combat, combattez. Restez centrés. Ce n'est pas la peine d'être sérieux. Jouez, tout simplement !

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#3 20/07/2015 00:13:04

Princesse Saori
Princesse
Blason de la Maison Princesse Saori

Re : EURO 189 : une campagne guerrière comme il y en a peu !

Putain de merde de déconnexion, tout est effacé.

En Bref.

Vive Guronce!

Qui aura maintenu une classe évidente dans une campagne minée par les problèmes de positions inégales de départ, les nombreux onr et les erreurs monstrueuses.

Je remporte un conflit avec Spikelor en le plantant magistralement et me taille un fief sympa au nord de l'Afrique.

S'en suit une situation tendue avec Démone et surtout Alboin qui bénéficie des largesses de Cirzo.

Mon allié Le Sbire se montre trop intransigeant dans une période qui nécessite une collaboration contre Guronce.

Je le laisse in fine tomber sans engranger de résultats, Démone rafle la quasi totalité de l'Espagne en m'abandonnant 2 terres tout de même.

Je choisis l'attentisme en organisant des joutes pour espérer arriver en force en italie contre Guronce.

Pas de chance, Spikelor, vainqu, trahit sans classe et empêche ma marche en avant.

Je n'apprécie pas du tout qu'un seigneur vaincu à qui l'on tend une main la morde lâchement mais il faut accepter cela.

Résulta, j'arrive avec un temps de retard trop important, pas de capacités suffisantes de recrutement.

C'est l'horreur et la victoire logique de Guronce bien trop puissant...

Saori


Kalan: "Tour 1. Pffff, je vais encore devoir céder mon trône à Saori"
Silent, De Carpat, Ozric, Jacques de Rèze:"On reste uniquement pour Saori"
Omar Bricedad:"Aaaargh, Saori m'a encore TUER hyper facilement!"

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#4 20/07/2015 13:54:10

Silent Requiem
Marquis
Blason de la Maison Silent Requiem

Re : EURO 189 : une campagne guerrière comme il y en a peu !

Démone a été chargée par son mari Silent de tester un mode que ce dernier apprécie peu, la guerre totale, avec si possible un fief en danger, donc sans protection, et des ennemis supérieurs en troupes/renommée/terres. La victoire importe peu, elle doit ramener un maximum d'informations sur ce sujet martial.

A début, elle se constitue un fief sympa de 8 terres. Alboin,à l'est, est son alliée. Clopin, au Nord, n'use que peu de diplomatie. En Espagne, le Sbire mange Montloup, et arive assez vite à 11 terres. Marius en a 4.

C'est partit, déclaration de guerre à Le Sbire et Marius.

Première très mauvaise passe. Le sbire joue très bien le coup, et prend après moi 3 terres de Marius. Interressant de devoir attaquer en position de renommée basse face à le sbire, et dans le même temps haute face à Marius. Bref, le sbire a 14 terres et de bon chevaliers. J'ai 7 terres.

Démone ruine moyennement son territoire, lève 10000 hommes, et attaque méchamment 2 terres, avec Gaziel son meilleur leutenant, espérant 2 combats engagé avec pertes d'hommes chez Lesbire. Cela marche, 9 terres, Le sbire recule.

J'attaque ensuite aragon, le centre de recrutement de le sbire plus 6 attaques bloquantes. Je défendrai aragon, ne laissant plus jamais le sbire recruter facilement.

La suite est sympa, le sbire se défend ardamment, mais perdra tout, sauf la vie, que je ne veux pas lui prendre.

J'attaque ensuite Kablan et Clopin au nord, mais guronce trop fort, malgré la défense héroique de alboin/conrad, un manque de chev, du à la reno de démone trop vite puissante, une relation tendue avec saori, qui m oblige à laisser mes chev en espagne, et un manque d'argent, m'empeche de jouer la gagne.

Campagne interressante.

Félicitation à guronce, beau vainqueur, et dont l'acte face à Baour est des plus nobles.

Démone

Dernière modification par Silent Requiem (20/07/2015 13:56:29)

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