Je comprends votre frustration alors que votre mentor n'est plus et qu'apparait désormais la faiblesse de votre positionnement stratégiquo-diplomatique.
Mais il est navrant de s'abaisser ainsi à l'insulte gratuite.
Voulez-vous que je ressorte notre accord établi à la première saison et que vous avez ostensiblement rompu?
Vous me roulez dans la farine et ensuite vous me faite confiance aveuglément, grand bien vous en fasse. Quand je vous dis que mon armée ne va pas vous combattre alors qu'elle se dirige sur vous, je pariai avec raison sur votre suffisance alors que vous misiez sur ma stupidité.
C'est bien vous qui avez violé notre accord, vous ne pouvez vous en prendre qu'à vous-même.
Je vous ai fait boire de votre propre coupe, je vous ai battu à votre propre jeu et même deux fois de suite.
La diplomatie est pour moi une arme aussi efficace que mes bataillons de soldats, j’en ai simplement usé contre vous, et je dois bien avouer que votre réaction fut bien au delà de toutes mes espérances, mais je vous prierais de garder si possible un minimum de dignité.
Je crains en effet que toute cette agitation ne change pas grand chose pour vous, mais je comprends que, réduit à l'impuissance sur le terrain des armes, vous vous essayez enfin à celui des mots. Je vous conseil cependant de ne pas trop étaler ainsi votre faible performance sur les deux tableaux en faisant de vous la risée de toutes les cours, car je ne vois pas d’autre résultat possible à votre intervention.
Pour ma part j’avais déjà compris que le vent bruyant qui sort de votre bouche ne vaut pas plus que le pet des vaches de mes paysans. Mais il se pourrait que certains seigneurs puissent encore en douter, ne gâchez pas bêtement le seul potentiel qu'il vous reste.