Ces statistiques sont intéressantes. Elles seraient utilement complétées ou affinées de la manière suivante :
- pour les joutes, il faudrait compter le nombre d'invités total. Par exemple, pour grossir le trait, si un seigneur A a organisé 1 joute et un seigneur B 3 joutes, l'analyse sera peut être différente si la seule joute de A à accueilli 40 seigneurs quand les 3 joutes de B en ont accueilli 12 à chaque fois.
Pour affiner plus encore, il faudrait voir combien de renommée l'organisateur d'une joute a gagné chaque fois (puisque le gain est très aléatoire, organiser une joute de 20 quand on est le seul organisateur rapporte plus qu'organiser une joute de 35 quand on est trois à en organiser une, et cela vous le savez fort bien, n'est-ce pas Princesse ?)
Autre élément d'analyse à prendre en compte : quand un chevalier seigneur gagne 200 ou 300 ou 500 pts de renommée quand il joute (à la royale ou dans les grandes joutes par exemple), le seigneur n'a pas forcément besoin d'organiser des joutes, si ce n'est pour son objet diplomatique, ou alors tout simplement parce qu'il veut gagner dans le sprint final.
Par exemple, un seigneur dont le CS est à 350 aura davantage besoin d'organiser une joute, s'il veut soigner sa renommée globale et aussi pouvoir combattre, qu'un seigneur dont le CS est déjà à 1000 parce qu'il n'a eu que le toute simple chance de passer des tours en joute. Et sur ce coup là, Artaz est encore plus poissard que moi...
- pour les achats, il faudrait mettre en perspective avec les ventes pour faire le cas échéant un différentiel qui serait plus parlant. Et si parmi ces opérations, certaines ont permis de monter le bonheur d'une terre plus facilement (ce qui a été mon cas une fois pour Provence, et encore pour monter de 40 à 80).
Tout ça pour dire que les statistiques, il faut se garder d'en faire des trop simples, car sinon on leur fait dire ce que l'on veut, et on légitimerait ce qui n'a pas beaucoup, en réalité, de légitimité...
Dernière modification par Tindalos (23/04/2016 16:28:45)