Cher tous,
Un petit retour sur la partie Ran où Frontel (en tant que remplaçant d'ONR) est sorti victorieux.
En guise d'introduction, je dirai que les premiers tours furent un véritable fiasco.
En Lorhar-Jarvi, un ONR, en Novgorod, un ONR, un suicide en Dolon etc...
Ce qui nous laisse une vingtaine de terres au Nord désertes si ce n'est un ONR en Lorhar-Jarvi.
Après une estimation rapide et un remplacement au tour 2, on observe que, même si tous les Seigneurs restants montaient au Nord en baissant leur renommée pour souffler des terres au nez de Frontel, ce dernier a 14 terres réservées (plus proches de son propre fief que de n'importe quel autre).
Le Sieur en Novgorod se réveille et s'exile en Kymia après une généreuse proposition de ma part car je pensais les terres acquises.
Je me retrouve donc enfermé avec mes 8 provinces baltes et Frontel, bien que démarrant lentement, a toujours un boulevard devant lui.
Abileor me bloque également sur mon Ouest et je n'ose passer par son royaume pour envahir Hugues de Calveley, seule barrière contre l'ogre Frontel.
Là, je prends une décision, celle de trahir Abileor et de poursuivre ma guerre en Finlande, deux fronts donc.
Ce fut certainement une erreur, mais l'autre option était de tenter gagner au prestige, impensable avec ma malchance intergénérationnelle lors des joutes de Kalan.
Je dois dire que je regrette avec du recul cette trahison mais suis curieux de l'issue de cette campagne si j'avais choisi la paix.
A noter que je ne suis pas passé loin, 15 provinces à un moment donné, avant de m'écrouler complètement faute de ressources.
Belle gestion de Frontel même si la position était plus qu'abusée.
Ulrich.
Dernière modification par Ulrich Von Liechtenstein (14/11/2015 17:09:57)
Je crois que vous m'avez mal sous-estimé..