j'avais refait toutes les cartes au format svg dont la MO.
Le lien d'une partie test que m'avait envoyé ilmir à l'époque:
http://www.gloireetpouvoir.com/parties/ … 1645#close
Grosse nulité stratégique des anglais qui n'ont jamais compris que j'étais l'électron libre qui pouvait gêner Calydan ou les français. Enfin surtout le paltoquet écossais. Saori est a une diplomatie purement utilitariste quand elle en a besoin. Elle utilisera n'importe quelle ressource pour servir son objectif.
Ensuite Caydan a profité de l'erreur dans les ordres de Silent pour lequel je jouais la temporisation en Espagne le temps de le faire grandir. A partir de là, c'est fini. Zoulou qui me fait enrager avec une phrase et du coup je ne pars pas en France en cavalcade désespérée. Mais je ne regrette pas car ça aurait arrangé le diplomate de l'insulte en kilt.
Donc bref, beaucoup de réussite pour Calydan mais il a bien mené sa barque avec une diplomatie mi-couleuvre mi-honnête. Il a bien utilisé Pier en glacis pour manoeuvrer sur un sud décimé par l'incompente, les régences et la désorganisation. (pour info j'avais proposé des trucs aux seigneurs espagnols dès le début mais soit ils daisaient l'inverse, soit ils faisaient rien dans une neutralité mortifère).
Ensuite Captain a fait une grande partie à mon sens avec sa position un peu périlleuse. Il aurait bien mérité de gagner. Saori aussi fait une bonne partie avec les cartes qu'elle a. Et a l'Est ça me paraît un peu statique mais dommage pour Kae. Globalement, les anglais sont punis de leur manque de vision, même si Saori a tenté de sauver les meubles et aurait presque mérité d'être sacrée.
Bravo à Calydan. Il a déjoué sa position première qui n'était pas dingue et su compenser par sa diplomatie et son aptitude à progresser de manière méthodique avec ses ressources.
Frederico
]]>A la demande d'un joueur le tour est décalé demain à 21h
Merci d'avance de passer vos ordres d'ici là
Captain
]]>Cela signifie que Dragan, Captain et Pentium (Silent) doivent déclarer la guerre à :
CALYDAN, EUDES, GURONCE, PIER, KAE, ABIELEOR et THEODEN.
Faites vos choix en âme et conscience mais n'oubliez pas les conséquences.
Saori
]]>À la demande d'un joueur mais surtout parce que j'ai oublié mon chargeur d'ordi le tour passera lundi 30/05 dans la soirée (21h-22h) si tout le monde a bien passer ses ordres dans les temps.
Bon week-end !
Captain / François
Je passerai le tour ce soir vers 21h30 - 22h car je serai dans le train
Bonne fin de week-end,
Captain/ François
]]>Maintenant avec 23000 hommes, il fait limite plus peur qu'Artaz.
]]>A la demande de plusieurs joueurs la résolution du Tour 13 passera ce lundi 16/05, vraisemblablement vers 18h.
Bonne fin de week-end,
Captain / François
]]>Désireux de mettre son temps à contribution, William écrivait ses mémoires. Il trouvait un certain plaisir à le faire, pourtant conscient qu'elles n'intéresseraient pas grand monde. Pourquoi le faisait-il ? Pour lui-même, avant tout. Car l'Homme est bien peu de choses, et les souvenirs sont comme un feu en plein hiver : ils réconfortent celui qui s'enfonce seul dans la nuit de l'âge.
William notait également ses idées, ses pensées, et relatait sa vision des choses. Il savait que beaucoup d'encre coulerait sur sa relation avec Saori, dans les îles. Peu de seigneurs avaient ne serait-ce que le début de l'idée de ce que représentait réellement cette relation. Le savait-il lui même ? Non, pas véritablement. Elle faisait partie de lui, comme lui d'elle. Mais ils ne cessaient de se repousser, de se battre et pourtant s'aider. Ils étaient deux virus faits pour vivre et périr ensemble, voilà la réalité.
Il savait également que sa campagne, peu importe qu'elle soit victorieuse, serait grandement décrié. On dirait ci et là qu'il n'avait pas de mérite - qu'il exagérait son importance. Oui, ses pensées feraient réagir, et c'était bien normal. Jalousie ? Sans doute... Mais quelle importance ?
On viendrait écrire qu'il était facile de l'emporter en trahissant. Ou alors, on dirait qu'il avait été grandement favorisé par untel ou untel, à moins que ce soit de la chance à la joute... ou sa naissance en Ecosse, protégée de tout. Alors oui, les discours étaient différents il y avait quelques saisons de cela, puisqu'on le moquait, lui assurant qu'il ne poserait pas un pied en France, et mettrait des années avant de débarquer.
Et comme des mauvais troubadours, ces Cassandre voyaient leurs predictions renversées. Il fallait donc soigneusement éviter de se remettre en question et de reconnaître la valeur intrinsèque de leur adversaire. Il fallait tempérer, relativiser, tenter de rebattre en brèche. Mais finalement, quelle était la conséquence de tout ceci ? William écrivait son histoire, celle qu'il avait vécue et celle qu'il connaissait mieux que les autres. A eux de venir se disputer un bout de gras pour expliquer qu'en réalité, le seigneur écossais n'était qu'un cocu parmi d'autres, sans plus de mérite.
Et pourtant... Il avait dû jouer tout à tour les bourriques, les suppliants, le supplicié. Le favori, puis le grand imbécile. Le doux, et le brutal. Oui, il avait eu besoin des autres pour progresser : mais où était la honte ? Nulle part, car il avait gravé à coup de victoires étincelantes sa légende. Et les pigeons pouvaient bien essayer de la salir, elle restait factuelle, objective.
Preuve qu'il en était que ses détracteurs avaient tout faux, peut-être ne saisissaient-ils pas toute la beauté, toute l'ironie de la situation présente. Qui de Calydan ou de William était véritablement favori ? Le vainqueur de l'affrontement, à n'en point douter. Mais ce que les spectateurs ébahis ignoraient sans doute... c'est que William et Calydan s'étaient liés d'amitié, dès les premiers rayons de soleil de cette campagne.
Le Pacte Insulaire était né très tôt, de l'initiative même de William. Il avait vécu, et ils avaient nourri des espoirs de s'entraider, et s'étaient promis de faire monter l'un des leurs sur le trône. Et finalement, l'ambition avait fini par avoir raison du Pacte, que William avait décidé de détruire de lui-même : Calydan n'y était pour rien. Et désormais, les deux alliés de la première heure, qui s'étaient promis fidélité et allégeance l'un pour l'autre, s'affrontaient pour qu'il n'en restât qu'un.
N'était-ce pas finalement, la plus belle des histoires ? Oui, William avait souvent été pris de remords, et s'était sincèrement posé la question. Fallait-il laisser Calydan l'emporter ? Ou mieux, fallait-il essayer de le battre à la loyale, à la renommée, sans chercher à le combattre ? William avait longuement hésité, préparant toutes sortes de calculs. Il pensait même pouvoir l'emporter, à ce petit jeu là.
Mais cela n'aurait pas été digne, cela n'aurait pas été beau pour la gloire, et le pouvoir. Il fallait que cela se dénoue par un acte chevaleresque, un acte de courage et de bravoure. Il fallait qu'ils se rencontrent. Seul le vainqueur de cet affrontement pouvait prétendre à jouer la victoire. Alors William se préparait, au bord du lac, pour affronter son plus vieil ami de la campagne, et son plus mortel ennemi... Mais alors, qui était le troisième membre du Pacte ?
]]>Comment expliquer cette révolte si ce n'est la volonté pour un Seigneur non mourrant (loin de là), d'offrir le trône à son allié plutôt que de tenter sa chance?
]]>A la demande expresse de Dragan je passe ses ordres car il ne peut plus accéder à son PC (ordi HS).
Je lui rends la main dans la foulée et lui laisse amender ses ordres si besoin.
Azildur a demandé une résolution à partir de 22h afin de pouvoir passer ses ordres.
La réso passera dès que j'ai son go que les ordres sont passés.
Bonne fin de week-end,
Captain / François
Si aucun seigneur n'a rempli la condition de victoire par conquête avant la fin de la saison 16, alors le vainqueur est le seigneur le plus renommé à la fin de la saison 16, c'est-à-dire après la résolution du tour 16.
Sinon pour mémoire, la condition de victoire par conquête est d'avoir conquis 31 terres ET confirmé la saison suivante. Si par hasard deux seigneurs atteignent 31 terres la même saison et confirment tous deux la saison suivante, c'est le plus renommé qui l'emporte.
La victoire par conquête suppose donc qu'un joueur au moins ait atteint 31 terres à la fin de la saison 15 - sinon il ne peut pas confirmer. Autrement dit, vu la situation actuelle, à part le scénario où un seigneur bénéficie d'un transfert massif et volontaire de terres de ses alliés (mais ce ne serait pas forcément quelque chose de génial du point de l'éthique de jeu) on se dirige vers une victoire par renommée à la fin de la saison 16.
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